Lors d’une ballade naturiste

Nous avons baptisé la pierre

Lieu de nos ébats intimistes

Car c’est ici qu’il s’est offert.

Depuis longtemps il voulait

Que je le prenne, que mon gland,

Mon sexe entier entre dedans

Déposer tout au fond, mon lait.

Souvent nous sommes venus

Sur cette belle table moussue

Tous deux, quand monte le désir

Prendre ici tout notre plaisir.

Tous nos nouveaux copains

Sont venus offrir sur la table

Leur cul vierge, charitable

Pour être pris avec entrain.

Devenu lieu de partouze

Ce n’est plus un sacrifice

Que d’offrir son orifice

A la queue de nous tous.

Frahos

De passage dans le centre 

Il m’a accueilli dans sa maison

M’a dit soit le bienvenue, entre

La taille entourée d’un chiffon.

Chiffon que bien vite il ôte

Dans le plus simple appareil

Il est très beau mon hôte 

Me suis déshabillé, à lui pareil.

La maison avec lui je l’ai visité

La chambre d’une baie éclairée

Le lit que nous allons partager

Pour une nuit, bien rapprochés.

Avec un verre, avons trinqué

Nous nous sommes allongés

Ses mains se sont promenées

Sur tout mon corps excité.

Entre ses doigts, mon sexe a pris

Raide et dur comme un bâton

M’enjambant, sur moi s’est assis

Sa rosette pénétrée jusqu’au fond.

Dans ses bras, enserré

La nuit avons terminé

Le petit matin arrivé

Il a fallut nous séparer.

Frahos

Tu es le compagnon de la nuit

Dans tes yeux une lueur luit

Au petit matin entre mes draps

Collé contre toi entre mes bras.

Je sens ton corps s’éveiller

Mon désir charnel s’aviver

Sur ta peau, mes mains s’activer

Dans ton dos, mon sexe bandé.

Mon gland par ta main guidé

Est pointé face à l’entrée

Ton dos cambré a tout facilité 

Tout doucement je t’ai pénétré.

Ton sexe tendu dans ma main

Accompagne mes mouvements

Au fond de toi puis ressortant

Le plaisir monte en chacun.

C’est toi le premier qui a éjaculé

Plusieurs fois ton cul s’est resserré

Tout au fond de toi, me suis arrêté

Tout mon sperme y ai déversé.

Frahos