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Dimanche 1 septembre 7 01 /09 /Sep 16:35

Car.jpgC’est le grand vide, Bruno est parti, ce matin je l’ai reconduit à la gare. Cet après-midi j’avais un rendez-vous, je l’ai reporté à lundi. Plus envie de rencontrer un être humain, j’ai envie de vivre dans le souvenir des derniers instants.

 

Bruno c’est un bel homme naturiste, la quarantaine, cheveux poivre et sel, comédien et chanteur dans des comédies musicales. Il est en complément de sa profession artistique, masseur. Sachant que je faisais régulièrement la traversé de la France, il m’avait contacté sur un site naturiste, il cherchait du covoiturage avec un autre naturiste et souhaitait voyager tout nu dans une voiture. J’ai fait un tout petit détour pour le prendre dans un gîte, près de la Ferté-Bernard. Le propriétaire m’a accueilli, derrière la haute porte de bois qui fermait le domaine. Bruno à quelques pas en retrait, est apparu presque nu, seulement des bottes au pied. Le propriétaire, m’a fait visiter le domaine pendant que Bruno fermait sa valise. Il a réalisé son souhait trois heures de nudité intégrale, entre Le Mans et Quintin. Il était excité par cette situation nouvelle, le sexe à l’air, un beau sexe ma fois, épais, un gland qui dessinait ses formes généreuses sous le prépuce. Par moments quand il était au repos, il le titillait du bout des doigts, ce qui avait pour but de lui redonner de la vigueur.

 

Nous sommes arrivés à la maison, vers 16 heures. Je lui avais proposé de l’hébergé pour la nuit, dans ma maison près de Guingamp et de le conduire à la gare le lendemain. Voiture déchargée, nous sommes allés faire un  tour dans le jardin envahi d’herbes folles, c’était vraiment un jardin à l’abandon. Avec beaucoup d’énergie, Bruno m’a aidé à arracher les plantes qui avaient poussé dans le gravier. En deux heures, nous avions redonné une âme à ce petit espace, délaissant le pré et ses herbes hautes. Il m’a proposé un massage relaxant, en remerciement de l’hébergement et du transport. C’est une expérience que je n’ai jamais eu l’occasion de vivre. Eh oui, je n’étais jamais passé sous les doigts d’un masseur. Après un bon bain, je me suis allongé sur une serviette, et, c’est là que les mains de Bruno se sont mises à l’œuvre. Quel bien-être, je me suis complètement abandonné et je crois que je me suis assoupi. Il m’a fait des compliments sur ma musculature, moi qui ne suis plus un jeune homme, c’est flatteur. Dans un élan de paroles, il m’a simplement dit « J’ai envie de te violer », moi qui suis plutôt actif, vu la grosseur de son sexe, je l’ai dissuadé. Quand je me suis retourné sur le dos, ses mains ont continué à me masser, effleurant par moment mon sexe gonflé et dressé, par tant de sensations. Puis ce fut le tour de mon sexe, délicatement enduit d’huile, ses mains descendaient sur les bourses, massaient jusqu’à la rosette. Un de ses doigt c’est introduit discrètement, j’étais sur une autre planète, en moi une tension agréable m’envahissait. Il s’est rapproché de moi, soulevant légèrement mes fesses, il est venu déposer un baiser langoureux sur mes lèvres. Son gland par la même occasion s’est pointé sur ma rosette, juste un effleurement, un frôlement, mais quelle sensualité… Les mains ont repris leur activité, étalant l’huile de mon gland à ma rosette, entretenant  l’excitation sans jamais aller au-delà. Un autre baiser langoureux, son gland sur la rosette avec un peu plus de pression. Je ne sais si elle ne s’est pas un peu ouverte pour dévoiler l’entrée, mais je commençais à avoir envie de son gros sexe. Et encore un fois ses mains sont revenues m’enduire d’huile. Et encore une fois nos langues se sont rencontrées. Et encore une fois, son gland s’est pointé à l’entrée tant convoitée. Cette fois c’est moi qui d’un mouvement de reins ai forcé le passage de ce gros gland que j’attendais impatiemment au fond de moi. Lentement, il m’a pénétré jusqu’à la garde, pas une douleur, que la satisfaction de le sentir en moi. Lentement il a entrepris des vas et vient, par moment son sexe sortait pour mieux me pénétrer. Ses mains se sont activées sur mon sexe, tandis que le sien pilonnait ma prostate. La tension montait de part et d’autre, l’envie de jouir devenait de plus en plus forte, je me suis masturbé pendant que lui accélérait le mouvement. Dans un râle bestial, il abandonnait sa semence, au fond de mes entrailles. De mon sexe jaillissait un geyser de sperme, qui s’écrasait sur ma poitrine, et même au delà. Il y a bien des années que je n’avais pas joui autant. Vidés, nous avons sommairement essuyé les reliefs de nos ébats, dans les bras l’un de l’autre nous avons retrouvé notre souffle et nos forces. La soirée était déjà bien avancée, vêtus d’un tee-shirt, nous sommes descendus pour uns repas de galettes bretonnes, avec fromage œuf et jambon. Après une nuit réparatrice, mon appétit de sexe s’est réveillée, j’espérais retrouver le bonheur de la veille, mais à mon âge, la bête bien que bandée, n’a pas voulu délivrer la manne attendue. De son côté, n’ayant lui non plus eu le temps de trouver l’orgasme, il n’a pas insisté restant sur sa faim.

 

Je l’aurais bien gardé près de moi ce beau prédateur, mais comme promis, je l’ai conduit à la gare. A l’occasion d’un prochain voyage, je lui ferais signe pour le ramener dans mon lit, s’il le veut bien et le garder de longues journées.

 

Frahos
Le 3 août 2013

Par frahos - Publié dans : Histoires - Communauté : Plaisir des Yeux
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