Lundi 3 décembre
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15:14
Ne recevant pas de clients au
bureau, écrasés par la canicule de cet été, Sébastien et moi avons opté pour la nudité totale au travaille.C'est sur le ton de la plaisanterie que j'ai émis cette possibilité. Je ne m'attendais pas à la réaction de Sébastien, qui à sauté sur l'occasion pour accepter. Ce n'est pas sans une petite appréhension et excitation que je me suis dénudé, suivi par un Sébastien très à l'aise. Aujourd'hui, nous sommes heureux de cette décision.
Au soir d'une journée de travail abrutissant, bien fatigués et désireux d'un bon moment de détente, nous avons, décidé d'aller au bord de la rivière,
nous rafraichir et passer un agréable moment. La baignade s'est imposée naturellement.
Jusqu'à la tombé de la nuit, le derrière dans l'eau nous avons discuté, profitant des derniers rayons de soleil et du retour de la fraicheur.
Jusqu'à la tombé de la nuit, le derrière dans l'eau nous avons discuté, profitant des derniers rayons de soleil et du retour de la fraicheur.
Demain, sans sous-vêtements, habillé uniquement d'un bermuda et d'une chemisette, je vais aller travailler et retrouver le bonheur de travailler nu.
Frahos
Par frahos
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Publié dans : Prose
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Communauté : bigay
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Ce vase plastique à l'image du dieu
égyptien Bès ithyphallique est du type rhyton, ouvert dans sa partie supérieure, percé d'un trou à son extrémité et muni d'un anneau de suspension. Nain difforme et grimaçant, Bès est ici coiffé
d'une tiare emplumée et porte une barbe bouclée. Accroupi, il est entièrement nu et tire la langue. Il brandit dans sa main droite un phallus au-dessus de sa tête et un autre dans sa main gauche
à hauteur de sa taille. Il est doté lui-même d'un phallus démesuré sur lequel est allongée une petite femme nue. Cette iconographie inhabituelle le rapproche des démons phalliques et laisse
entrevoir que ce type de Bès était peut-être associé au culte d'Harpocrate ithyphallique et aux phallophories de Memphis. La femme couchée sur son sexe rappellerait alors les concubines du dieu
représentées dans les "chambres de Bès" à Memphis où elles dansent devant le dieu au son du tambourin. Dans tous les cas Bès, divinité familière, protecteur contre les influences malignes et
atteintes pernicieuses, exerce ici ses fonctions de dieu de la fécondité et de la génération en brandissant des phallus apotropaïques. Ce vase plastique était sans doute une image du culte
domestique ou un ex-voto, à moins qu'il n'ait été destiné à un usage funéraire. L'achat de ce vase à l'iconographie originale vient compléter avec bonheur une série de beaux exemplaires du dieu
Bès que possède déjà le musée : en soldat romain brandissant un glaive ou en démon bénéfique représenté sur des chevets ou sous forme d'amulettes.
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