Mercredi 5 décembre
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/12
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06:42
A l'extrémité du frêle rameau
Je me balance au gré des pas
Emmitouflé d'un châle de peau
Suis souvent un saule pleureur.
Propulsé au dessus de la canopée
Sur la pousse vigoureuse du chêne
Le capuchon dont je suis enveloppé
Enlevé, je ne veux plus de chaines.
Au sommet d'un beau chêne vigoureux
J'ai enfin des couleurs, je suis heureux
Tout excité, des racines je sens monter
La sève qui jaillira sur la canopée
Bientôt l'excitation passée
Je suis redevenu cet être dolent
Je n'ose plus me montrer
Je ne suis qu'un gland.
Frahos
Par frahos
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Mardi 4 décembre
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04
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/Déc
17:52
Bain en tenue de peau
Que vous êtes beaux
Lui, docile et puissant
Toi si fragile, dirigeant.
Comme tous les matins
Faisant fi de la pudeur
Toi le cornac charmeur
Serais-tu un libertin ?
J’aimerais bien toucher
Baiser ton corps sculpté
Partager tout nos câlins
Nos plaisirs masculins.
Frahos
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Mardi 4 décembre
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04
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/Déc
17:46
Qu’il est beau le cheval blanc
Derrière Daniel Radcliffe nu
On pourrait penser qu’il est tenu
Il n’en est rien, il nous a eus.
L’homme qui t’a photographié
T’a oublié beau cheval blanc
Tu méritais d’être pris en entier
Pas l’acteur devenu si grand.
Tu as été éclipsé par le sexe nu,
Nos yeux se sont rabattus
Sur ses bourses rebondies
Il a une plaisante anatomie.
Tu vois, nous t’oublions aussi
Intéressé par les attributs
En noir et blanc d’un homme nu
Tel qu’il est représenté ici
Frahos
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Mardi 4 décembre
2
04
/12
/Déc
07:03
Sur
l'esplanade, les jeunes guerriers s'entrainent
Sans
uniforme, ils évoluent entièrement dévêtus
Laissant
se balancer librement leurs attributs
Ils
n'on même pas une protection pénienne.
Qu'il est plaisant de les regarder manœuvrer
Plaisant
de leur apprendre à manipuler l'épée
J'aime
les regarder dans le plus simple appareil
Vifs,
toujours en mouvement, toujours en éveil.
Si l'un vient à tomber, c'est facile pour le soigner
Si
l'infirmier effleure, le bel organe sera vite levé
En
toute camaraderie, le caressera pour le calmer
Afin
qu'il puisse retourner rapidement s'entraîner.
Le soir venu, les armes rangées dans leur chambrée,
Je
ne vous conte pas comment se termine la journée.
Par
petits groupes de deux ou trois, selon l'affinité
Ils
prennent entre eux, tous les plaisirs tant désirés.
Frahos
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Lundi 3 décembre
1
03
/12
/Déc
20:08
Rentre, vas, viens, jouis
Oh ! Quelle douce sève
qui m'emplie à fond.
Frahos
俳句 Haiku
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