Nos ancêtres du Yucatán

Lui rendaient hommage

Représenté à leur image

Dessiné sur leurs poteries

En usage dans leur village

Bien dressé le bel organe.

Langue tirée pour toucher

Le gland du sexe dressé

Auto-fellation programmée

Recevoir la semence sacrée

Petit homme au sexe bien dressé

Pot à sperme destiné à la collecte

De la liqueur des mâles villageois

En un festin, partagée dans la joie

Tour à tour suceront le vit sélecte

Où s’écoulera le liquide apprécié.

Nous n'avons pas la chance

Que les mâles de tout âge

Nous donnent dans le village

Leur merveilleuse lactance.

Frahos

Il est long le chemin qui me mène à toi

La vie dans ton paradis, tu me l’a comté

J’ai tant espérer avec toi la partager

Pour vivre notre amour sous ton toit.

J’ai tout laissé pour prendre le chemin

Je suis les rails qui me rapprochent de toi

A travers les villes, les prairies et les bois

J’espère être dans tes bras au petit matin.

Tu es trop loin, inaccessible, j’en rage

Je sui fatigué, je n’arrive plus à marcher

Le soleil se couche je n’ai plus le courage

Entre les rails je me suis assis, épuisé.

J’avais imaginé, dans tes bras, tu me serrais

Sur ma bouche tes lèvres m’embrassaient

Tes mains douces, sur mon corps exploraient

Sur nos ventres, nos sexes branlés explosaient

Frahos  

Je t’admire quand tu te promènes nu

J’aime le dessin de tes poils de ton torse

Contournant les seins ils chutent au nombril

J’aime ton ventre poilu et ton sexe au repos

Sur tes jolies couilles bien remplies.

J’aime quand tu me lis des histoires 

Tes livres  sont toujours bien choisis

Comment veux tu que je ne bande pas

Dès que tu m’en as lu trois pages

Toi aussi, tu n’es pas indifférent.

Tu aimes que nous soyons excités

Le livre c’est le prétexte pour échauffer

Nos esprits, pour profiter de nos corps

Nous aimons ces moments chauds

Ou nous donnons à l’autre tout le plaisir.

Frahos