Il participait pour la première fois

A la dernière équi-randonnée

Pour deux jours, tout comme moi.

Nous nous sommes rencontrés.

La même chambre avons partagé

Nous nous sommes appréciés

Il aime les hommes et la nature

Il est doux, caressant et pur.

Il est grand, brun et musclé

De chevaux il est passionné

Il veux en faire sa profession

Eleveur, je partage sa passion.

A travers prés, chevauchant à cru 

Souvent il vient me voir à cheval

Et arrive dans le pré entièrement nu

Vraiment excité, c’est un beau mâle.

Ne soyez pas étonnés si vous voyez

Galoper dans les prés en fin de journée

Deux cavaliers nus sur leurs destriers

Je ne peux le quitter, j’aime ce cavalier.

Frahos

Galerie L'homme nu de l'artiste Ilse Haider fait polémique
Un avant-goût de l'exposition intitulée "Nackte Männer" (Les hommes nus)

au

LEOPOLD MUSEUM

Museumsplatz 1 im MQ, 1070 Vienne, Autriche

En soi, le thème de l'exposition - la nudité masculine dans l'art depuis 1800- n'a rien de révolutionnaire. En revanche, les attributs exposés librement à l'entrée du Léopold Museum de Vienne n'ont pas manqué de déclencher la controverse.
C'est un véritable trompe l'œil qui a été conçu pour accueillir les visiteurs de l'exposition "Nackte Männer" ("Les Hommes nus") qui a ouvert ses portes le 19 octobre dans la capitale autrichienne.

Un assemblage complexe de photographies gigantesques, collées sur des panneaux de bois, a permis d'intégrer l'escalier qui mène au musée dans le corps d'un homme qui tient la posture d'un gisant étrusque.
Pas d'alternative pour les badauds : il leur faut frôler la verge et les testicules du modèle qui pose sereinement. Baptisée "Mister Big", cette œuvre a été conçue par Ilse Haider, une artiste de Salzbourg connue pour ses travaux sur le nu masculin.

L'affiche originale puis avec modification

A l'intérieur des photos et des dessins

Des tableaux et des sculptures

Des montages

Il est doué mon photographe

J’ai posé, je n’ai pas fait gaffe

Moi qui suis blanc, c’est un leurre

Il me fait de toutes les couleurs.

Avec ses éclairages, multicolores

Mes formes il les a mises en valeur

Les ombres, les reliefs et les couleurs

J’aime bien, un photographe en or.

Froid derrière et brûlant devant

Il me connaît, c’est ce que je ressens

Derrière j’aime quand vous regarder

Devant j’ai un volcan pour défoncer.

Frahos