Frahos

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Mardi 27 novembre 2 27 /11 /Nov 12:24

 

Par frahos - Publié dans : Ecologie
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Mardi 27 novembre 2 27 /11 /Nov 08:58

208.jpgLes eaux basses laissent aux mecs

La place pour se faire bronzer nu

L’été sur les iles qui se découvrent

On se rencontre, sans risque d’échec.

 

Au XIXe siècle, jeunes gens du prytanée

Vous n’étiez certainement pas pudibond

Le château de Menars en toile de fond

Auriez-vous aimé, aux ébats, participer ?

 

Dans un bosquet vous y verrez

Un mec sur une queue empalé

Dans un autre, pas plus dissimulé

Une bite en train de se faire sucer.

 

Si vous avez des bourses à vider

Vous trouverez une opportunité

Tout est possible, je puis l’assurer

Là-bas moi aussi, j’y suis passé. 210.jpg

 

Frahos 
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Par frahos - Publié dans : Poèmes - Communauté : PHOTOS D'HOMMES NUS SEXY
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Mardi 27 novembre 2 27 /11 /Nov 08:08

Aller tout au sommet par les sentiers138.jpg

En osmose avec la nature, je marche nu

La chaleur venue, j’aime me promener

Si vous n’osez pas, vous êtes les bienvenus

Je vous ferais découvrir des sentiers

Où l’on peut, sans crainte, marcher.

 

Je conçois que vous soyez très surpris

J’étais comme vous avant d’avoir essayé

Maintenant, j’ai mes sentiers favoris

Ils sont ensoleillés et légèrement ventés

Il m’arrive de rencontrer un randonneur

Pas offusqué, il faut marcher tant d’heures.

 

Frahos

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Par frahos - Publié dans : Naturisme
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Mardi 27 novembre 2 27 /11 /Nov 07:21

Nous sommes pas si loin de l’époque où Molière faisait dire « Couvrez ce sein que je ne saurais voir » dans sa pièce Le Tartuffe ou l’Imposteur, une comédie en cinq actes qui fut représentée pour la première fois au château de Versailles, le 12 mai1664.

 

Dans le monde grec classique, les Phallophories, appelées aussi phallogogies, étaient des processions solennelles en l'honneur de Dionysos, dans lesquelles on transportait un énorme Phallus de bois, accompagnant le cortège, avec chants typiques, comme celui du poète de Délos mise dans une de ses œuvres théâtrales :

« Retirez-vous, faite place à dieu ! parce qu'il veut résister, gonfler, avancer au milieu. »

Dans la mythologie grecque, il y avait Priape. Son équivalent dans la mythologie romaine se nomme en réalité Mutinus Mutunus, bien qu'il soit souvent cité sous le nom Priape. On reconnaît Priape par son gigantesque pénis constamment en érection.

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Nous sommes loin des civilisations qui ne sont pas choquées par le sexe de l’homme. Il est très présent au Japon lors de la fête du Kanamara Matsuri qui à lieu chaque année à Kawasaki.

Il est encore présent à Samcheok en Corée où le sanctuaire de Haesindang fut construit en l'honneur du culte du pénis. Des concours de sculptures de pénis sont organisés régu-lièrement. Ces sculptures sont exposées autour du sanctuaire.

57.jpg Dans le Morbihan, menhir géant ou petite stèle, la forme et parfois les figurations gravées laissent penser qu'il existait là une dévotion aux puissances célestes (pierre pointant vers le ciel) ou chtoniennes (pierre enracinée), probablement un culte voué à des divinités anthropomorphes, masculines et féminines, dieux et déesses du Néolithique.

 

Nous sommes soit disant à l’image du dieu créateur, or en France, depuis plusieurs siècles l’Eglise chrétienne a culpabilisé les hommes et influencé la législation. A l’exception de quelques plages, la loi française ne tolère pas qu’un corps nu soit visible, même par un œil inquisiteur qui viendrait regarder chez vous. Nos législateurs sont contre tout changement, mais lors d’un vernissage, ils seront les premiers à admirer le travail de cet artiste qui a su représenter un homme nu d’après un modèle bien vivant. Ils seront même les premiers à mettre au milieu d’un parc public, sur un piédestal ces apollon dont la nudité ne choque plus. Dans le musée de la ville ! Ce tableau, pur chef-d’œuvre...   C’est de l’art !   La culture, naturellement !   La tradition, me direz-vous !

 

Mais nous simples citoyens, bien vivants, nous devons voiler d’un tissus, même léger, pourvu qu’il cache l’organe, même s’il en révèle toutes les formes.  Les tenues des athlètes des récents Jeux Olympiques à Londres en sont la preuve.

 

La chose est entendue, ce n’est pas d’aujourd’hui que date la polémique, il suffit de lire nos célèbres écrivains français.

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Ce qu’on appelait la braguette, au XVIe siècle, était une espèce de vêtement qui, en les couvrant, montrait les formes secrètes de la virilité, aussi exactement qu’un gant montre celles de la main. Les vieux portraits en pied nous offrent des exemples de cette mode singulière. Il paraît qu’elle commençait à tomber du temps de Montaigne. « Que voulait dire cette ridicule pièce de la chaussure de nos pères, qui se voit encore en nos suisses, dit-il ? À quoy faire la monstre que nous faisons à cette heure de nos pièces en forme sur nos gregues ; et souvent, qui pis est, outre leur grandeur naturelle, par fausseté et imposture ? » 

(Essais de Montaigne, liv. III, chap. V.) J’ai vu en Suisse, dans l’église de l’abbaye de Muri, un dessin à la plume qui représentait une procession nombreuse. Les hommes y avaient leurs braguettes très apparentes. Une main récente a cherché à faire disparaître cette incongruité de costume que les progrès de la décence rendaient trop sensible.

 

Molière aurait raté une réplique devenue célèbre. Avec la publicité, les seins nus…  Il y a bien longtemps que nous ne sommes plus choqués par une femme entièrement nue.

Et les hommes nus…   Les grands créateurs de mode s’y sont hasardés, et les sexes commencent même à faire leur apparition, au grand dam des puritains, sans oublier Kirikou le « petit homme nu » qui fait la une aux infos sur TF1.

Peut être que dans …. années nous, les hommes, pourrons ne plus être coupable d’avoir un sexe comme tout le monde.

Frahos

Par frahos - Publié dans : Naturisme
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Lundi 26 novembre 1 26 /11 /Nov 15:26

Sur le tapis de mousse alvéolée211.jpg

Tout nu j’ai pris la position

Sur mes bras, les jambes croisées

J’ai contrôlé ma respiration.

 

En équilibre, les yeux fermés

En moi j’ai senti monter la vitalité

Mon sexe gonflé, s’est redressé

Bien bandé, le gland décalotté.

 

Sur mon tapis de mousse alvéolé

J’ai retrouvé toute ma sérénité

Je me suis déplié et me suis levé

J’étais bien, mon sexe dégonflé.

 

Avec un autre homme, partager

Ces longs moments privilégiés

Ensemble nos sexes, les branler

Dépenser cette énergie retrouvée.

 

Frahos

Par frahos - Publié dans : Poèmes
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