Le corps nu abandonné sur la couche
Il s'offre à ma vue, comment résister
Suivre le chemin sur le cou dessiné
A chaque contour apposer la bouche.

Un téton en relief, pourquoi ne pas sucer
Il aime, vers les abdominaux, me diriger
Son nombril entouré de poils clairsemés
Annoncent le début de la touffe désirée

Les pointes du tatouage se sont terminées
Là, je rencontre son beau sexe dressé
Émergeant, majestueux, tout décalotté
Une grosse goutte sur son gland perlé.

Frahos

Ce matin tu m'as rejoint sous l'eau
Une douche à deux, on ne fait qu'un
J'aime quand tu me savonnes le dos
Pour nettoyer la peau, un gant de crin

Sentir ton sexe s'éveiller et se redresser,
Quand tu t'approches plus près de moi
Tes mains s'aventurent sur le devant
Mon corps enlacé, au plus près de toi.

Sexe bandé entre mes fesses insinué
Tu déposes sur mon cou des baisers
Tu m'as pénétré, ton plaisir trouvé
Tu m'as longuement rincé et excité.

Et c'est moi maintenant qui te lave
A mon tour de te savonner, t'enlacer
Dans ton cul j'ai pénétré et fourragé
Je n'ai cessé, jusqu'au plaisir trouvé.

Dans deux grandes serviettes blanches
Mutuellement nous nous sommes séchés
Rassasiés nous nous sommes habillés
Sommes prêt pour partir travailler.
 
Frahos

Pour la fête de Hadaka Matsuri
Juste vêtu du traditionnel fundoshi
Nous avons lutté pour avoir un Shingi
Et le planter dans le masu rempli de riz.

 
Après la fête, heureux et fatigués
Dans ta machiya, nous somme rentré.
J'aime quand nous nous retrouvons
Dans la nuit noire sur ton shiki-buton.

 
Sous ma main j'aime sentir se gonfler
Sous ce ruban de soie, ton bel organe
L'apercevoir poindre, son essor trouvé
Il est beau, pour moi plus d'arcanes.
 
Dérouler la longue bande de soie or
Du fundoshi qui entoure ton joli corps.
Tes bourses rebondies, y poser mes lèvres
Et jusqu'au gland, petites lèches brèves.

Frahos