Lundi 3 décembre
1
03
/12
/Déc
09:11
Mettre vit au chaud, j'ai rêvé !
Tout excité, dur et
dressé
A l'aube de cette journée
Je t'ai caressé pour
t'éveiller.
Mes mains se sont promenées
Sur ton beau corps
bronzé
Entre tes cuisses me suis glissé
Un baisé sur tes
fesses déposé.
Tu aimes, entre tes lobes musclés
Ma langue baveuse
s'est insinué
Ta frémissante rosette trouvée
Soigneusement léchée
et pénétrée.
Tout dur sur ta rosette pointé
Mon vit t'a
tendrement pénétré
Le plaisir nous avons trouvé
Tous les deux, avons
explosé.
Frahos
Par frahos
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Lundi 3 décembre
1
03
/12
/Déc
08:00
Eh quoi ! dans cette ville d'eaux,
Trêve, repos, paix, intermède
Encor toi de face ou de dos ;
Beau petit ami : Ganymède !
L'aigle t'emporte, on dirait comme
A regret de parmi des fleurs
Son aile d'élans économe
Semble te vouloir par ailleurs
Que chez ce Jupin tyrannique
Comme qui dirait au Revard
Et son œil qui nous fait la nique
Te coule un drôle de regard.
Bah, reste avec nous, bon garçon,
Notre ennui, viens donc le distraire
Un peu, de la bonne façon,
N'es-tu pas notre petit frère ?
Paul Verlaine - Hombres (1891)
Par frahos
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Lundi 3 décembre
1
03
/12
/Déc
07:52
Gland, point suprême de l'être
De mon maître,
De mon amant adoré
Qu'accueille avec joie et crainte,
Ton étreinte
Mon heureux cul, perforé
Tant et tant par ce gros membre
Qui se cambre,
Se gonfle et, tout glorieux
De ses hauts faits et prouesses,
Dans les fesses
Fonce en élans furieux.-
Nourricier de ma fressure,
Source sûre
Où ma bouche aussi suça,
Gland, ma grande friandise,
Quoi qu'en dise
Quelque fausse honte, or, çà,
Gland, mes délices, viens, dresse
Ta caresse
De chaud satin violet
Qui dans ma main se harnache
En panache
Soudain d'opale et de lait.
Ce n'est que pour une douce
Sur le pouce
Que je t'invoque aujourd'hui
Mais quoi ton ardeur se fâche...
O moi lâche !
Va, tout à toi, tout à lui,
Ton caprice, règle unique.
Je rapplique
Pour la bouche et pour le cu
Les voici tout prêts, en selle,
D'humeur telle
Par frahos
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Lundi 3 décembre
1
03
/12
/Déc
07:26
C'est un plus petit cœur
Avec la pointe en l'air ;
Symbole doux et fier
C'est un plus tendre cœur.
Il verse ah ! que de pleurs
Corrosifs plus que feu
Prolongés mieux qu'adieu
Blancs comme blanches fleurs !
Vêtu de violet,
Fait beau le voir yssir,
Mais ô tout le plaisir
Qu'il donne quand lui plaît !
Comme un évêque au chœur
Il est plein d'onction
Sa bénédiction
Va de l'autel au chœur.
Il ne met que du soir
Au réveil auroral
Son anneau pastoral
D'améthyste et d'or noir.
Puis le rite accompli,
Déchargé congrûment,
De ramener dûment
Son capuce joli.
Paul Verlaine
Par frahos
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Dimanche 2 décembre
7
02
/12
/Déc
15:57
Par frahos
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Je tiens beaucoup à mes bijoux
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