Partager l'article ! L'auto-stoppeur: Derniers jours de juin, en ce début d'été, je quitte les bords de la méditerranée pour rentrer chez moi. Il va ...
Histoires
de
FRAHOS
Derniers jours de juin, en ce début d'été, je quitte les bords de la méditerranée pour rentrer chez moi. Il va y avoir
bientôt un mois que je suis parti avec mon camping-car pour me balader en Espagne. Pas uniquement la côte, mais bien d'avantage à l'intérieur, campagne agricole, parfois désertique. Je me suis
souvent arrêté loin de la circulation, au bord d'un chemin dominant la campagne ou dans un vallon désertique au bord de ruisseaux pour n'y passer qu'une nuit, et je suis resté parfois plusieurs
jours en pleine nature oubliant souvent que je n'étais pas seul au monde. J'ai vécu au rythme du soleil, de la marche, de la baignade, de la lecture et de la musique, mangeant quand le corps
réclame. Dans ces moments de solitude, j'ai certainement passé la moitié de mon temps en tenue d'Adam, croisant au hasard de mes pérégrinations un agriculteur sur son tracteur ou un groupe d'ados
allant se baigner dans la rivière. C'est ma dernière nuit sur la plage d'Urbanova, les jours passent vite et avant la grande déferlante des vacanciers, il faut que je prenne le chemin de la
maison en Suisse, j'ai fait une bonne provision de soleil et de chaleur. Dans la matinée, après une dernière baignade, direction Alicante puis Benidorm, etc... jusqu'à la frontière française. Je
vais éviter l'autoroute payante et revenir par la route, je ne suis pas pressé et en dehors des agglomérations, les lambeaux de nature sont encore merveilleux.
Je suis encore dans les faubourg d'Alicante, cette ville béton aux mille grues quand, sur le bord de la route, un
auto-stoppeur avec un sac à dos à ses pieds, lève le pouce, comme ceux des années soixante. Je m'arrête pour le prendre,
- Bonjour, je vais en France, pouvez-vous me prendre ?
- C'est possible, mais je ne fait pas comme les camions, je vais mettre plusieurs jours avant d'y
arriver.
- Pas de problème.
- OK monte.
Il a ouvert la porte et essaye de rentrer son gros sac à dos.
- Attends mets-le derrière, la porte est ouverte.
- OK
Je rêvais depuis longtemps, prendre un auto-stoppeur, c'est actuellement, «une denrée» rare sur le bord des
routes.
Celui-ci, c'est un jeune maghrébin, 24-25 ans, un jeans dont l'entre jambe lui descend presque entre les genoux et une chemise
blanche à manches longues. Je ne sais pas comment il fait, moi qui ne supporte qu'un short sur la peau.
Pendant qu'il pose son sac sur la banquette à l'arrière, je débarrasse le siège passager et il s'installe à côté de
moi.
- Merci de me prendre.
- Il y a de la place et j'ai été assez longtemps seul, alors un peu de compagnie c'est très
agréable.
- Vous êtes Suisse ?
- Oui et toi tu viens d'où ?
- Je suis Algérien, plus précisément d'Oran et je viens d'arriver par le ferry ce matin et je vais jusqu'à Paris, vous pouvez
m'emmener jusqu'où ?
- Je vais quitter la route de Paris à Valence, et je vais mettre 4 ou 5 jours pour arriver là-bas. Si ce n'est pas trop long
pour toi et si tu as envie de rester, tu pourras dormir dans le camping-car, ce n'est pas très grand mais il y a un grand lit pour 2 personnes. C'est tout ce que je peux te proposer pour les
nuits à venir, mais c'est sans frais.
- Je peux dormir parterre ou dehors à côté du camping-car.
- Parterre ! c'est pas très confortable et ce n'est pas grand quand le lit est déplié. Tu ferras bien comme tu veux mais le
lit sera plus confortable, c'est à toi de choisir.
Nous avons repris la route tout en discutant, nous nous sommes présentés et je lui ai expliqué pourquoi ne n'allons pas nous
presser.
Aux abords de Benidorm, je me suis arrêté dans un supermarché Carrefour et j'ai pris un complément de nourriture et du pain
frais pour ce nouveau passager. Karim, puisque c'est son nom m'a attendu dans le camping-car. Il est étudiant en physique, à Oran, il a 23 ans, il est naturellement musulman, il va faire un stage
à Paris. Du point de vue physique... il n'est pas maaaaal du tout !
Après Moraira nous nous arrêtons au bord de la route pour manger. Le village de Cumbre del Sol perché sur les falaises
blanches, la mer dans l'échancrures des rochers, le spectacle est idyllique. Il y a tout juste la place pour la table et les deux fauteuils à coté du camping-car. Le repas est vite préparé,
j'avais une salade de riz avec du thon, je rajoute des tomates, un oignon en rondelles, un peu de feta, de sauce vinaigrette. Une tranche « jambon de poulet » avec du pain et du beurre, des
abricots bien juteux, un café, et vous avons un repas complet. Karim a enfin chaud, après ce petit moment au soleil, ça me rassure... il me demande si il peux s'habiller plus
décontracté.
Quelle question !
Il cherche dans son sac, un short et quittant son jeans, il dévoile sous sa chemise blanche, une paire de fesses bien
rebondies dans un slip aussi blanc et bien tendu, de cuisses fines et des mollets légèrement poilus. Le tout très vite caché par son bermuda beige. Il roule les manches de sa chemise et plie
soigneusement son jean dans le sac à dos. Pendant ce temps, je lave et range dans les tiroirs le peu de vaisselle utilisée et nous sommes rapidement prêt à repartir. Nous roulons presque jusqu'en
fin d'après midi sur cette route côtière. Nous la quittons pour nous enfoncer dans les terres à la recherche d'un endroit moins urbanisé et au sommet d'une colline, nous prenons un chemin
caillouteux entouré de lande. Un espace sur notre gauche est relativement plat, dominant un vallon à la végétation rase, l'air exhale toutes les senteurs méditerranéennes. C'est l'endroit idéal
pour passer la nuit. Le jour décline rapidement, quelques petits points lumineux viennent de s'allumer au lointain. Certainement un village que la route que nous venons de quitter, dessert. Nous
n'entendons que les bruits des animaux et des insectes nocturnes.
Nous prenons notre repas côte à côte, il se libère de plus en plus, il est presque à l'aise. Il amène la discussion sur mes
loisirs, et je lui vante la liberté, l'indépendance que j'ai acquis, lors de mes escapades avec ce camping-car. Les soirées de solitude, les rencontres, etc... C'est alors qu'il me fait une
remarque surprenante.
- Vous profitez pleinement de toute votre liberté, même avec les gens que vous rencontrez ?
- Oh oui, je profite pleinement de ma liberté... mais je ne vois pas bien ce que tu veux dire.
- Pendant que vous étiez au supermarché j'ai regardé votre carnet de dessins.
- Ah ! Je comprends.
- C'est vous qui avez tout dessiné ?
- Dessiné est un bien grand mot, j'ai simplement reproduis des dessins de Jean Cocteau et de quelques autres
dessinateurs.
- Ils sont très érotiques, mais il n'y a pas de femmes !
- Effectivement ce ne sont que des dessins d'hommes nus. Tu aimes ?
- A première vue, oui, ça surprends, certains sont très osés surtout quand deux hommes sont mis en
scène.
- Très significatif, n'est-ce pas ?
- On n'imagine pas à vous voir, que vous êtes... que vous... vous faites vraiment hétéro.
- Ca te surprend ?
- Oui, il y a longtemps que vous....
- Que je rencontre des hommes ! Oui bien sûre. Tu as vu le carnet et tu as quand même décidé de passer la nuit ici
?
- Oui.
- Et quels sont le critères qui t'on incité à rester ?
- J'ai eu une impression de sécurité.
- As-tu eu des expériences avec des garçons ?
- Oh non, j'en ai vu tout nu, dans les douches après le sport, mais je n'ai jamais touché un et je n'ai jamais eu envie d'en
touché.
- Et maintenant as-tu eu envie d'en toucher ?
- Non... je ne sais pas.
- Et les filles ?
- Chez nous, les filles bien, c'est intouchable avant le mariage.
- Alors vous devez patienter et les plaisirs sexuels, ce n'e sont que des plaisirs solitaires ?
- Oui c'est tout a fait ça. J'ai des copains qui disent avoir des expériences entre eux, mais moi je n'ai pas été
attiré.
- Je vais ranger la table pour préparer le couchage. Tu me laisse faire tout seul, OK.
Karim part marcher sur le chemin, dans la nuit, je ne l'aperçois plus. Pendant ce temps, une fois la table propre, je pose son
sac à dos sur le siège passager, je baisse la table et déplie le lit.
Je me suis assis sur les marches à rêvasser dans la nuit. Mes yeux se sont habitués à la pénombre et je ne l'aperçois pas,
mais j'entends le faible bruit des ses pas qui se rapprochent sur le gravier.
- Si tu veux te coucher dans le lit, je te laisse le côté de la fenêtre.
Je me suis éloigné et quand je reviens, seule sa tête aux cheveux presque ras, sort de sous la couette. J'ai tout fermé,
éteints la lumière et tout nu me suis glissé à ses côtés. J'entends sa respiration régulière et tout doucement nous glissons dans les bras de Morphée. Dans la nuit nos corps se sont rencontrés,
le contact de nos peaux me réveille en sursaut. J'avance ma main dans sa direction et du bout du doigt, je suis les courbes, effleurant sa cuisse, je remonte jusqu'au tissus de son slip, je n'ose
plus bouger. Sa respiration régulière m'indique qu'il est profondément endormi. Il me faudra plusieurs heures pour que je retrouve mon calme et m'assoupir.
Je me réveille, il fait jour, Karim, est redressé sur un coude, son torse nu, imberbe, émerge de la couette. Un large sourire
illumine son visage, découvrant une rangée de dents blanches. Il a perdu son visage juvénile, la barbe sombre à envahie ses joues et son menton.
- Bonjour.
- Bonjour Karim, as-tu bien dormi ?
- Oui et vous ?
- Bien, mais j'ai été réveillé en pleine nuit, quand tu t'es retourné.
- Moi aussi je me suis réveillé et j'ai bien aimé quand vous avez passé votre doigt le long de ma
cuisse.
- J'ai senti ton corps contre le mien, j'ai simplement cherché à vérifier que je ne me trompais
pas.
- C'est bien la première fois que je dors avec une personne que je ne connais pas, mais je pensais que vous seriez allé plus
loin.
- Ah, tu pensais que je serais allé plus loin, tu en avais peur ou tu en avais envie ?
- Depuis la discussion d'hier soir, j'ai envie de découvrir ce que vous pouvez bien ressentir. Cette nuit j'ai découvert que
jamais je n'avais été aussi excité en vous sachant à côté de moi.
- Et ce matin cette envie n'est toujours pas partie ?
- Oh non, elle est bien présente.
Je le tire vers moi, mes bras l'enlacent et maintenant qu'il est sur moi, je sens contre mon ventre son sexe dure et chaud qui
pointe à l'orée du slip. Les bras tendus pour ne pas m'écraser, il me regarde avec une pointe d'inquiétude.
- Je n'ai pas d'expérience, je ne sais pas...
- Laisse toi faire.
Je le serre contre moi et nos deux corps enlacés roulent sur le côté, mes mains explorent ce corps jeune. Je m'arrête sur les
pectoraux, titille le bout des tétons, puis descend sous le nombril, à l'intérieur du slip, je rencontre ce sexe qui était sur mon ventre, quelques instants auparavant. Vite dégagé, au milieu de
la touffe de poils noirs et frisés, dur et chaud, il est dressé au dessus de deux bourses fermes, à la peau fripée. Je poursuis sur les cuisses. Je me replie, ma tête suit le même chemin que ma
main. C'est ma langue qui s'occupe des tétons. Arrivé au niveau de son sexe circoncis, ma bouche happe le gland et je le suce avec avidité, descendant et remontant de plus en plus rapidement le
long de la hampe. Ma main caresse ses deux couilles et puis d'un doigt je titille sa rondelle. Je sens frémir son corps, se contracter. Je quitte la hampe pour aspirer ses deux belles couilles.
Je remonte et l'embrasse fougueusement. Ma langue s'insinue à la rencontre de la sienne. Nos deux sexes se frottent l'un contre l'autre. Je sens sa main qui timidement ose s'aventurer à le
rencontre de nos sexes. Il me saisi et doucement me branle. La couette qui a depuis un moment déserté nos corps, laisse le soleil levant jouer sur notre peau. Je prend dans la petite commode à
coté de notre lit, du gel et un préservatif. Il est resté sur le dos et l'enjambant, après avoir déroulé la pellicule de caoutchouc, je m'empale sur son pieux toujours dressé. Les mouvements de
mon corps ne le laissent pas longtemps insensible, tout en me branlant face à lui. Tandis qui se vide dans le préservatif, j'inonde son torse de longs jets de sperme. Nous restons un long moment,
n'osant pas bouger pour ne pas perdre cette sensation de bien être qui nous a envahie. Je sens son sexe qui se rétracte doucement et s'échappe de mon trou. C'est le signal du nettoyage, j'essuie
son torse et son ventre et me recouche à côté de lui, retirant la couette pour nous couvrir.
- Alors, qu'en penses-tu ?
- Jamais je n'aurais imaginé que l'on puisse avoir des sensations d'une telle intensité.
- Et encore tu n'as pas découvert beaucoup de choses, quand tu auras appris à être plus actif, tu apprécieras bien d'avantage.
Que prends-tu le matin ?
- Un café si c'est possible.
- Oui pas de problème, reste encore un instant couché, je mets juste l'eau a chauffer.
Et je suis venu le rejoindre quelques minutes sous la couette, le caressant tendrement. Nous avons ouvert la fenêtre, l'air
est déjà bien chaud.
- Nous pourrons déjeuner dehors au soleil, si tu veux.
Je me lève et ouvre en grand la porte de côté. Pas un souffle, le soleil est déjà chaud et simplement le bourdonnement des
abeilles vient rompre le silence. J'ai envie de musique et je crois que les Danses Polovtsiennes du Prince Igor de Borodine sont le plus appropriées.
Karim s'est levé, il a vite fait d'enfiler slip, short et chemise. Moi je n'ai rien mis sur moi, je profite du soleil à la
grande surprise de Karim. La table et les deux fauteuils sont vite installés, le pain, le beurre, la confiture, les bols, le café, le lait... tout est en place pour un bon repas. Nous prenons
notre temps pour apprécier ce moment de bonheur.
- Veux-tu prendre une douche, je crois que tu en as besoin ?
- Oui, mais vous n'avez pas une douche !
- Si, à l'arrière, j'ouvre la porte, je pose un caillebotis parterre et j'ouvre le robinet.
- Dehors ?
- Oui bien sûre.
- Et si quelqu'un vient ?
- Il verra un homme qui se lave.
- Je sais pas si...
- Moi je vais aller en prendre une et je m'habillerais après.
C'est Karim qui débarrasse les reliefs du petit déjeuner et entreprend le lavage pendant que j'installe la douche à l'arrière.
Finalement, je l'incite à prendre sa douche avec moi. J'ai pris du plaisir à le déshabiller et je l'entraîne sous la douche. Je le savonne et au bout de quelques secondes, il avait complètement
oublié qu'il était nu en pleine nature. Son sexe à retrouvé toute sa vigueur, mais nous ne nous éternisons pas sous la douche, faute d'eau. Enroulé dans sa serviette, il rentre pour s'habiller.
Moi j'enfile un simple short, ma tenue pour les journées en dehors des villes. Nous reprenons la route. Nous ne sommes plus très loin de Barcelone, nous évitons la côte et la ville pour rester
sur les petites routes en retrait, qui serpentent dans les collines boisées. Nous croisons la route qui conduit au sanctuaire de Montserrat, puis par le Parcs Naturels de Montseny nous
redescendons au niveau de la mer. Nous nous arrêtons sur un petit parking qui surplombe la mer et la plage, par un escalier interminable nous arrivons sur le sable ou quelques baigneurs se font
dorer nu au soleil. Karim n'ose pas la nudité intégrale, il se tortille dans une serviette pour enfiler un maillot de bain. Nous courrons jusqu'à l'eau pour notre baignade. Le repas est
relativement simple, pain, tranches de poulet, fromage et un bouteille d'eau. Deux heures se sont écoulées quand nous remontons au campin-car. Nous sommes heureux de trouver une bouteille d'eau
au frais dans le réfrigérateur. Et nous reprenons notre route en suivant la côte. Ce soir nous sommes à Grifeu, pas très loin de la frontière Française et allons passé la nuit en bordure de mer.
Nous avons trouvé un parking désert à l'entrée du village. Le bruit du ressac nous parvient, entre deux coups de vent. Quelques voitures passent puis tout devient silencieux. Karim toujours aussi
pudique s'est couché avec son slip, je le rejoint et nous nous retrouvons pour cette deuxième nuit sous la couette. Il viens se caler au creux de mes bras, je sens bien qu'il est en attente, je
caresse son torse, m'aventure vers le ventre et le slip, je glisse ma main à l'intérieur et trouve son sexe en érection. Je fais glisser son slip et revenu au creux de mes bras, je l'enserre et
le colle à moi, mon sexe dur, flirte avec la raie de ses fesses. Je lui caresse le ventre, à la rencontre de son sexe. Il se tourne face à moi.
- Je n'ai jamais eu autant de sensations bizarres dans mon ventre, jamais autant envie de jouir que depuis que je suis avec
toi. J'ai envie de t'embrasser, te toucher, te caresser, de prendre ton sexe dans mes mains, de te faire jouir.
Je le fais taire par un long baiser langoureux et pour la deuxième fois de la journée, nous faisons l'amour. Karim s'endort
dans mes bras. C'est dans cette positions que nous nous sommes réveillé ce matin. C'est lui qui à pris l'initiative, et nous recommençons. Insatiable ce jeune homme !
Ce matin nous reprenons la route et nous ne nous arrêtons plus jusqu'à midi. Nous sommes à côté de Montpellier, direction le
Grau du Roy et le parking de l'Espiguette. Avec mon petit sac à dos bourré de nourriture, je l'entraîne tout au fond de la plage. Il est de plus en plus surpris de voir autant de mecs à poil.
Nous sommes à l'écart et pour une fois il ose la nudité pour m'accompagner à la baignade. Il découvre cette sensation indescriptible de liberté. Pour nous protéger du léger vent qui balaie la
plage, nous nous retirons, dans un creux de dune, et avant qu'il n'ai pu se rhabiller, je le culbute sur ma serviette. Son sexe vite au garde à vous, desservira ses protestations. Je lui
explique, ici, tout est permis avec le soleil pour témoin et les yeux des voyeurs qui passent et repassent. Un grand mec châtain, ne nous quitte pas des yeux, tout nu un sac sur le dos, il se
branle et se rapproche à petits pas. Je lui fais signe que NON. Un 69, je domine Karim et plonge vers son sexe que je gobe avidement. Il me suce pour la première fois, il est vrai que mon sexe et
mes couilles sont a porté de sa bouche. Je le branle tout en suçant et il ne va pas tarder à venir. Haletant, il me dit :
- Attention, je viens.
Deux longs jets de sperme terminent leur course dans le sable. Je serais plus long à venir, me branlant pendant que Karim me
caresse.
Nous mangeons après ce petit intermède et Karim à complètement oublié qu'il est nu.
- Jamais je n'aurais imaginé ce que je vis depuis deux jours.
- Ce n'est pas fini, tu as encore énormément de choses à découvrir.
- Quelle liberté, il est impensable chez moi de rester nu, de se branler ou de faire l'amour sur une plage en plein
jour.
- Nous sommes dans un lieu exceptionnel ici. C'est interdit partout ailleurs.
- Je comprends mieux la sensation de liberté des naturistes, je n'aurais jamais découvert sans toi.
- Si tu me fais confiance, je vais encore te faire découvrir d'autres sensations de liberté, mais il faut reprendre la
route.
En route pour Nîmes et la vallée du Rhône. A Bagnols-sur-Cèze nous avons quitté la nationale, direction Alès, je connais un
petit parking complètement à l'écart de la civilisation. Nous y arrivons de nuit et comme je m'y attendais, c'est désert.
- Demain matin, nous irons visiter les gorges de l'Aiguillon qui sont ici en-dessous. C'est spectaculaire et nous marcherons
sur un sentier pour contourner la gorge, puis nous reviendrons au camping-car par un autre chemin. Je prendrais le sac à dos, de la nourriture et de l'eau car nous ne serons pas de retour avant
l'après-midi.
- C'est une longue marche ?
- Trois heures, mais la marche sera entrecoupée de baignade et c'est sans difficulté.
- Mes basquets seront suffisants pour la marche ?
- Oui naturellement. Tu vas apprécier la liberté et si tu as envie, tu pourras marcher et te baigner tout nu. Ce soir, un plat
de pâtes s'impose pour les muscles.
Repas simple et au lit. Karim s'endort pour la première fois, tout nu dans mes bras, non sans avoir pris le temps d'un moment
de tendresse. C'est lui qui ma embrassé, me remerciant de cette nouvelle vie. Nous n'en sommes pas resté aux embrassades et ce n'est qu'après avoir pris notre pied, que nous nous sommes
assoupis.
Ce matin le soleil est encore au rendez-vous, Karim m'enlasse, je sens son sexe pointer contre moi, il est entreprenant et
m'enjambant il me couvre de baiser. Mon sexe dressé caresse sa raie. Il descend et happe mon gland et me pompe avec ardeur.
- Attention, je viens.
Il ne s'arrête pas et continue à me pomper. Deux ou trois jets de sperme remplissent la bouche. Quand il se relève, il
recrache le tout dans un mouchoir.
- J'avais envie de goûter
- Et tu as aimé
- Oui, mais ce n'est pas ce que je préfère.
- Tu avais déjà goûté du sperme.
- Non, je n'y avais même pas pensé.
- Viens tu n'as pas jouis, je vais m'occuper de toi.
Nous avons déjeuné au soleil et toujours nu, nous avons pris notre douche ensemble. Un tee-shirt et un short serons nos seuls
vêtements.
Pas une voiture n'est venue se garer sur le parking supérieur, nous sommes les premiers visiteurs. Dans le sac à dos, j'ai mis
deux serviettes, le repas pour midi, une grande bouteille d'eau et nous avons pris le sentier qui descend dans la gorge. L'air est encore frais et nous supportons nos vêtements. Le portail des
Concluses est impressionnant et il est difficile de comprendre comment le maigre filet d'eau qui passe sous la planche qui fait office de pont, a pu au fil des ans creuser une telle parois de
roche. Le sentier remonte de l'autre côté, serpentant dans la végétation et les éboulis. Nous avons bien vite chaud et je me débarrasse de tous mes vêtements. Karim reste torse nu et nous
poursuivons notre chemin jusqu'à la Pierre plantée.
- Tu vois si tu as envie de découvrir la nature dans le plus simple appareil, tu ne rencontreras plus
personne.
- Tu es sûre que nous ne rencontrerons personne ?
- Pas avant de retrouver la voiture.
Karim laisse tomber son short, tout excité, le sexe au garde à vous, il regarde autour de lui. Puis petit à petit, il se calme
et nous reprenons notre marche. Il à gardé son short à la main, « au cas ou... ».
Son sexe a mis un certain temps avant de retrouver une position naturelle, les branches des arbustes penché sur le chemin,
caressant au passage ce jeune corps sans aucune protection.
- C'est agréable de sentir les branches nous frôler.
- Je t'avais promis d'autres sensations, c'en est une.
Le sentier serpente sur le plateau puis plonge vers la vallée, nous retrouvons le lit du torrent et nous remontons à la
recherche d'un gour agréable, une piscine naturelle entre des blocs de rochers usés par l'eau. Le soleil est chaud, nous avons trouvé notre coin pour manger et nous arrêter pour une bonne
baignade avec séchage au soleil. Nous lézardons plusieurs heures. Nous nous installons sur un rocher plat pour manger, cet marche à aiguisé l'appétit de Karim. Nous saluons trois randonneurs,
deux hommes et une femme, aussi peu habillés que nous, qui continuent dans la gorge à la recherche d'un gour aussi accueillant que le notre. Karim les mains devant son sexe, ne les quitte pas des
yeux.
- Tu as dit que l'on ne rencontrerait personne.
- Ils sont comme nous, ils t'on même dit que bonjour.
- C'est une habitude en France, de se balader à poil ou c'est aussi un endroit extraordinaire ?
- C'est un endroit extraordinaire.
Karim est tout fou, les visiteurs partis, il saute dans l'eau comme un ado, éclabousse les alentours et reviens se faire dorer
au soleil.
Nous avons remis nos chaussures et reprenons le chemin du retour. Le sentier qui monte dans la Combe de Pourinau est envahi
par de hautes herbes et quelques ronces. J'admire Karim qui est devant moi, le mouvement de ses fesses fermes, qui montent et descendent au fil des pas, me donne de terribles envies. C'est moi
qui bande comme un âne. Arrivant dans une clairière, le sentier se sépare en deux, Karim se retourne pour me demander le chemin, contemplant mon sexe, il sourit et s'avance pour m'embrasser. Ses
mains s'aventure vers mon sexe, le siens se redresse aussi vite.
- Allons sur la droite, plus loin, le sentier va s'enfoncer dans la forêt, et si nous continuons, nous pourrons faire une pose
plus loin hors de la vue des randonneurs, car ce n'est pas une clairière mais un coupe feu qui est en arc de cercle.
- Nous serons seuls ?
- Il y a de très fortes chances que pas un être humain ne passe ici aujourd'hui.
Nous avons laissé sur notre gauche le sentier qui s'enfonce dans la forêt et avons poursuivi dans cet espace herbeux. Dans un
petit coin ensoleillé, protégé du vent et des regards, nous avons étalés les serviettes et nous avons fait l'amour.
- J'aimerais bien que tu me prennes, savoir quelle sensation cela fait d'avoir ton sexe en moi.
- Les premiers instants ne sont pas toujours agréables, mais après tu y prendras goût.
C'est Karim qui déroule le préservatif sur mon sexe. Je lui prépare la rondelle, met du gel et se positionnant au dessus, il
s'empale doucement, en faisant la grimace. Il remonte doucement, redescend, remonte et abandonne.
- J'ai trop mal.
- Viens.
Le fond de la bouteille d'eau à été vidé pour un lavage sommaire. Nous reprenons le sentier délaissé plus tôt et à travers la
forêt nous terminons notre ballade. Nous enfilons notre short, la route était en vue au travers du feuillage. Nous retrouvons notre camping-car, cinq ou six voitures sont garées sur le parking.
Personne en vue, nous en profitons pour prendre une douche bien méritée. Il est 16 heures quand nous reprenons la direction de Valence. Je n'abandonne pas Karim à la tombée de la nuit, nous
passons notre dernière nuit ensemble sur les bords du Rhône.
Demain je le laisserais au bord de la route, nos chemins se séparent. Le souvenir de ce retour va rester gravé dans ma
mémoire, pour le restant de mes jours.
Frahos
Derniers Commentaires