Frahos

0Avatar.jpg

Derniers Commentaires

Recherche

Mardi 27 novembre 2 27 /11 /Nov 16:25

218.jpg En ce mois de juillet 2003, la canicule est bien installée et cet après-midi je vais, comme tous les après-midi depuis huit jours, chez mon copain Joël. Ses parents ont une villa au sommet de la rampe de la Capite, au milieu d'un parc avec de grands arbres. Dans le SPA qui est installé sur la terrasse et qui domine le lac, nous y avons passé chaque jour, plusieurs heures à nous rafraîchir.

Joël a déclenché l'ouverture de la grille et est venu m'accueillir. Nous sommes montés dans sa chambre pour enfiler un slip de bain et nous sommes allés vers la terrasse, en passant par l'office. Le Spa est occupé par le père de Bernard, le père de Joël et un autre homme, en grande discussion. Son père en nous voyant sur le pas de la porte nous invite à venir.
- Venez, nous vous laissons la place.
Et joignant le geste à la parole, ils se sont levés et sont sortis tout nu du Spa pour s'installer autour d'une grande table, à l'ombre du store. Je suis surpris de les voir évoluer, comme çà, sans être gêné. Je n'arrive pas à détacher mes yeux de ces deux corps matures et musclés.
- Alors Pierre-Yves, surpris ? Tu ne t'attendais pas à voir des mecs à poil, ici !
- Surpris, oh oui ! Jamais je n'aurais imaginé ton père comme çà.
- Il ne faut pas te formaliser, mon père et ses copains sont des naturistes très libérés.
- Je vois.
- Viens te rafraîchir.
Nous nous sommes enfoncés dans cette eau bouillonnante et fraîche et avons apprécié en silence ce temps de bien être.
Le père de Joël à disparu au bout de la terrasse et est revenu un instant plus tard avec des cartes IGN. Face à moi, les deux nudistes, appuyés sur une grande table discutaient et gesticulaient autour d'une grande carte dépliée.
- Ils sont sûrement en train de préparer une rando sur plusieurs jours. Eric et mon père sont toujours partant quand ils ont quelques jours de libre.
- Ils partent ou ?
- Je ne sais pas.
Le père de Joël à disparu et revient avec des bières bien fraîches. Assis dans les fauteuils ils dégustent tout en continuant à parler.
- Tu crois que si on lui demandait, ton père nous prendrait avec lui ?
- Tu aimes la rando ?
- Oh oui j'aime, mais je n'ai pas souvent la possibilité de partir plusieurs jours.
Joël interpelle son père et lui demande :
- C'est bien une rando que vous préparez ?
- Oui
- Plusieurs jours ?
- 4 à 5 jours entre 1500 et 2500 m d'altitude, pourquoi ?
- Pierre-Yves à envie de se balader avec vous.
- Pourquoi pas !
Sortant du Spa Joël me dit :
- Viens, allons voir ce qu'ils préparent.
Nous les avons rejoint autour de la table
- Tu veux une bière ?
- Oui s'il te plaît
Joël m'a abandonné et est rentré dans la maison. C'est Eric qui m'a expliqué ce qu'ils ont envisagé.
Départ en après-midi pour aller en 4x4 jusqu'à un chalet qui appartient à la famille d'Eric. Le lendemain matin départ pour la rando, nuit sous tente, marche encore un jour, nuit sous tente, marche pour revenir jusqu'à la voiture, nuit au chalet et retour ici à Genève.
Nous étions penchés tous les trois sur la carte quand Joël est arrivé avec les bières. J'étais content de tourner le dos, car n'arrivant pas à détacher mon regard des deux sexes qui étaient à fleur de table, j'avais une excitation qui commençait à être difficile à cacher.
Je me suis assis dans un fauteuil, mon slip de bain, à l'abri des regards.
- J'aimerais bien partir comme vous sur plusieurs jours.
- Si tes parents sont d'accord, pas de problèmes
Je posais la question à Joël :
- Tu viendras aussi ?
- Non, moi je veux bien pour une journée, mais 4 jours c'est trop pour moi. Il n'y a plus de plaisir.
- Je n'y vais pas, si tu ne viens pas !
- Si tu aimes la marche sur plusieurs jours, vas-y. En général ils font de belles balades, en tous cas de belles photos de paysage.
Les cartes sont pliées et père de Joël me dit « Tu dis bien à tes parents de m'appeler, nous prévoyons la balade pour la semaine prochaine » et ils sont partis toujours nus vers l'escalier qui descend vers le bureau d'architecte, situé sous la grande terrasse.
Je suis resté avec Joël essayant de le convaincre de ne pas me laisser seul avec son père et Eric.
Quand je suis rentré chez moi, je n'en ai pas parlé à mes parents, je ne voulais pas me balader tout seul avec eux, sans mon copain, le temps sera top long.
Je suis revenu le lendemain pour notre baignade quotidienne et avons retrouvé la terrasse pour nous deux.
Joël me dit :
- As-tu envie de te baigner à poil, comme mon père ?
- Non non, çà va bien comme çà.
- Ce n'est pas le fait de te mettre à poil qui te gènes, je te vois tous les jours quand tu enfile ton slip.
- Mais dehors ce n'est pas pareil.
- Tu parles, il n'y a que nous.
- Si tes parents viennent !
- Pas de risque, moi je vire tout.
Joël tout nu est entré dans l'eau, je n'ai pas hésité trop longtemps et j'ai suivi son exemple. C'est très agréable de sentir l'eau glisser sur la peau, c'est relaxant. Après un bon moment nous nous sommes allongés nus sur les chaises longues pour nous faire dorer au soleil.
- Tu as parlé à tes parents pour la rando avec mon père ?
- Non, si tu viens avec moi, je serais heureux d'y aller.
- Pas pour plusieurs jours, je n'y vais pas. Mais toi tu as envie de faire cette balade ?
- Oui j'aimerais bien y aller.
- Tu es gêné avec mon père ?
- Non.
- Alors il faut y aller.
Le WE est arrivé, je ne suis pas retourné chez Joël, mais le dimanche soir c'est son père qui à appelé mes parents pour savoir si je voulais me joindre à eux. Nous en avons discuté à la maison et mes parents devant la folle envie qui me tenaillait ont appelé pour confirmer ma participation. Il faut que j'arrive à convaincre Joël pour qu'il vienne avec nous. J'ai perdu mon temps, Joël n'a pas changé d'avis.
Donc le lundi vers 14 heures 30, Eric au volent de son 4x4 s'est- arrêté devant mon immeuble à la Croix de Rozon. J'ai chargé mes affaires dans le coffre et suis monté à l'arrière du véhicule. Bernard, le père de Joël étant assis à la place du passager avant. Nous partons pour 2 heures de route.

Pendant ce temps, je vais nous présenter :
Bernard, architecte, 45 ans, marié, père de Joël.
Eric, prof de biolo, 47 ans, divorcé sans enfant, copain de Bernard.
Moi, Pierre-Yves, étudient à l'Uni, 22 ans comme Joël.

Nous voici arrivés devant le chalet, il est 16 heures 30. A 1900 mètres d'altitude, nous ne souffrons plus de la chaleur. Il faut même allumer le feu dans le vieux poêle de la salle unique du rez de chaussée, pour réchauffer la pièce, car les murs de pierre maintiennent une trop grande fraîcheur et de l'humidité.
C'est rustique une grande table avec des bancs, un vieux buffet pour la vaisselle, un évier en pierre, pour le coin repas, un clic-clac et un fauteuil devant la petite fenêtre.
Eric et Bernard ont monté leurs affaires pour la nuit dans l'unique chambre au premier étage.
C'est tout aussi rustique, mais les murs sont en bois. Un petit dortoir avec 2 matelas de 90 côte à côte, sur un plancher surélevé et une grande couette qui peut couvrir les deux matelas. Bref de quoi coucher 2 personnes, voir 3 personnes en se serrant bien. Deux chaises de chaque coté d'une armoire complètent le mobilier.

Les sacs à dos, chaussures, trouvent une place dans un coin de la salle.

Après un repas copieux avec des pâtes pour les forces du lendemain, nous allons nous coucher, comme les poules. Il est vrai que nous n'avons l'électricité mais un petit groupe électrogène et un chauffe eau solaire pour la douche, seule dérogation au modernisme.

Venant du premier étage, les faisceaux des lampes de poche animent cette grande pièce, les ombres danses sur le mur de pierre. Je m'installe rapidement sous une couette dans le clic-clac de la salle, la chaleur du feu de bois n'a pas eu le temps de réchauffer matelas et couvertures. Je grelotte et me couche à plat ventre pour me réchauffer. Au premier je les entends rire, chuchoter et très certainement chahuter. Puis tout se calme, je n'arrive pas à dormir, j'ai froid malgré la veste en polaire, les chaussettes et le pantalon de survêtement. Là haut je les entends ronfler... ils ont bien de la chance. Vers 11 heures n'y tenant plus je monte au premier et me dirige vers le lit pour quémander une couverture supplémentaire.
Bernard ne dit qu'il n'y en pas d'autres, mais il m'invite à me glisser en eux deux. J'ai vite accepté. Eric que je viens de réveiller me frictionne énergiquement.
- Tu devrais enlever cette polaire que ne la supportera plus dans un instant.
Pour la veste polaire je l'ai jeté sur le lit et en tee-shirt, je me suis vite calfeutré sous la couette.
- Tu devrais aussi enlever ton pantalon, tu auras trop chaud, crois-moi.
- Non, non, je ne peux pas je n'ai pas de caleçon en dessous.
- Ce n'est pas un problème, je ne sais pas si tu as vu, mais on est à poil tous les deux.
- Tous les deux ?
- Oui, bien sûre !
- Non.
- Tu ne me crois pas ?
Et prenant ma main, Eric la dirige vers son sexe et l'applique dessus. Je n'ose pas bouger un doigt au contact de cette masse chaude dont je perçois les palpitations, je retire rapidement sa main.
- Je n'oserai jamais dormir à poil entre vous deux !
- Tu auras trop chaud, à toi de voir !
- Ne l'embête pas trop, laisse le tranquille, nous avons tous besoin de dormir.
Effectivement j'ai eu chaud, mais c'était même très agréable et la chaleur à été un bon compagnon de sommeil. Ces deux corps nus étaient de vraies bouillottes. Le sommeil nous a entraîné jusqu'au premières lueurs de l'aube.
Eric s'est levé, a enfilé une veste polaire et il est descendu allumer le feu dans le poêle, a mis à chauffer de l'eau et est remonté se réchauffer dans le lit. Je l'ai vu arriver cul nu et à voix basse, pour ne pas réveiller Bernard je lui demande :
- Tu n'as pas froid, si peu habillé ?
- Si je suis gelé, mais ici sous la couette, c'est exactement ce qu'il me faut pour me réchauffer.
Après un court silence je lui dis :
- Vous êtes vraiment très libérés tous les deux !
- Libérés, oh oui ! Je suis très souvent à poil, même dehors quand le temps le permet. Bernard aussi.
- Moi je ne pourrais pas !
- Tu ne t'es jamais baigné à poil ?
- Non.
- Il faudra que tu essaies, tu verras c'est génial.
Bernard qui s'est réveillé pendant notre discussion, s'étire et brusquement se jette sur moi et me chatouille.
- Tu n'as plus froid ?
- Noooooon !
Dans un mouvement incontrôlé, ma main vient s'appuyer sur le sexe d'Eric, dur comme du bois.
- Oh alors, il à une de ces érection !
- A toi, ça ne t'arrive jamais le matin ?
- Si bien sûr. Oh non !
La main d'Eric se pose sur mon entrejambe et empoigne mon sexe, au travers du pantalon.
- Tu peux parler de moi... Tu est aussi dur que moi !
- D'ailleurs, si tu poses ta main sur Bernard, tu verras qu'il est dans le même état que nous.
- Pas question, debout, si vous voulez vous balader, il faut se préparer. Je vais voir si l'eau pour le café est chaude. Je prépare le petit déjeuner pendant que vous allez à la douche.
Et d'un bon Bernard est sorti du lit, a enfilé un pantalon de toile légère, un tee-shirt et est descendu dans la salle. Eric est descendu tout nu dans les escaliers, pour prendre sa douche, une serviette sur l'épaule. Je suis descendu rejoindre Bernard dans la salle. C'est avec la serviette autour de la taille qu'Eric est remonté 10 minutes plus tard, dans la chambre, me laissant la place. C'est moi qui ai pris la suite.
- A table le café est chaud ! Pain, beurre et confiture, ça vous convient ?
J'aide Eric à ranger la salle pendant que Bernard passe sous la douche.

Vérification des sacs, piolet, cordes, tente, duvet, nourriture, vêtements, cartes et ce mardi à 8 h 30, départ en voiture, vers le Cormet de Roselend et la descente vers Les Chapieux pour remonter vers La Ville des Glaciers.
Le 4x4 garé, c'est à pied que nous partons pour nos trois jours de balade, sur le sentier du Tour du Mont-Blanc. Nous le laissons sur notre gauche pour remonter le long d'un torrent, puis par une pente très raide, nous atteignons le pierrier sous le Col de l'Ouillon (2612 m). Trois heures de marche nous ont ouvert l'appétit et nous nous arrêtons à proximité du petit lac de Plan Forclaz pour notre premier repas dans la nature. D'autres randonneurs montés depuis Bourg-Saint-Maurice se sont également installés pour le repas. Sur nos torses nus, le soleil est chaud et agréable à cette altitude. Nous lézardons un bon moment, nous n'avons que trois heures de descente vers les ruines des chalets du Beauprés (2060 m). Nous avons installé notre tente sur le gazon épais qui entoure un petit lac, à proximité des ruines. Nous ne serons pas les seuls habitants, car un petit troupeau de moutons nous surveille d'un mamelon voisin. Eric est le premier à profiter de l'eau tiédie et des derniers rayons de soleil pour faire sa toilette tout nu au bord du lac. Avec Bernard nous le rejoignons avec nos affaires de toilette.
- Qui veux-tu me laver le dos ? demande Eric
- J'arrive, le temps de me mettre en tenue ! lui répondit Bernard.
Quelques minutes plus tard, leurs mains se savonnent réciproquement, glissant sur leurs deux corps. Ses mains ont abandonnées le dos pour savonner la poitrine, puis le ventre, le sexe et les jambes. C'est très excitant autant pour eux que pour moi, car leurs sexes se redressent aussi vite que le mien. Seule différence, je suis habillé.
Je ne fais qu'une toilette de chat pour être de retour rapidement à la tente. J'ai du mal à quitter des yeux ces deux males en chaleur. Je m'assoie dans un coin assez abrité, et n'y tenant plus, je dégrafe mon short et je commence à me caresser. Je ne lâche pas du regard, mes deux compagnons de rando. Je les voie clairement se branler, je n'en peux plus, m'e cachant derrière la tente, je me branle de plus en plus vite, je crois que je vais venir... je viens, je ferme les yeux, que c'est bon.
- Bienvenue au club
Bernard et Eric sont à côté de moi, je n'ai rien vu, rien entendu, ma queue dans la main et mon sperme à giclé dans l'herbe devant moi, laissant au passage quelques traces sur ma main. Je dois être écarlate, honteux d'avoir été surpris, je remonte rapidement mon short. Je ne sais plus quoi faire.
- Vas te laver, tu en as besoin et n'hésite pas à aller dans l'eau.
C'est la première fois de ma vie que je me lave nu dans un lac. L'érection qui m'avait quitté reprend de plus belle. Je m'installe sur une pierre accroupi pour ne pas être trop visible et lave mon sexe qui ne débande pas. J'aurais du mal à tout caser dans mes vêtements. Je reviens lentement vers le campement.
- Vient, le repas est prêt !
Eric et Bernard se sont affairés pour préparer un repas chaud. Nous avons mangé de bon appétit et ils n'ont cessé de se moquer de moi. Moquer n'est certainement pas le terme qu'ils auraient employé, mais je l'ai ressenti ainsi.
Avec la nuit qui arrive, nous nous installons dans la tente, pour la nuit. Je retrouve ma place au chaud entre les sacs de couchage de Bernard et Eric. Je ne sais pas comment ils sont faits, ils sont à nouveau à poil dans leur sac de couchage.
- Tu devrais faire comme nous, tu vas transpirer.
Je n'ai pas quitté le haut, mais mon short et cul nu dans mon sac de couchage je vais passer la nuit, non sans avoir une nouvelle érection.

Mercredi matin :
Nous avons presque fait la grâce matinée, Eric et Bernard ne sont sortis de la tente qu'avec le soleil. Moi j'ai renfilé mon slip et mon short avant de m'extirper de mon sac de couchage.
Eric a fait chauffer de l'eau pour le café, préparé des bols et des cuillers. Bernard à sorti des petits pains, de la confiture, du café en poudre.
- Petit bonhomme, le café est prêt, met le nez dehors.
Le soleil est déjà chaud et la rosée s'échappe en fumeroles de la toile de tente.
- As-tu bien dormis.
- Oui, comme un loir.
- Le soleil est déjà chaud, il ne faudra pas trop traîner pour partir.
Un léger coup de nettoyage à l'eau du lac, pour nous réveiller et nous avons commencé à faire nos sacs, ranger sacs de couchage, puis c'est le tour de la tente.
Il y a bien 1 heure que nous marchons sur le chemin en direction du Col de la Forclaz (2525 m). quand nous faisons une pose. Eric, à la vue de mon tee-shirt trempé, me conseil de l'enlever. D'ailleurs eux aussi se déshabillent, enlevant l'unique short qui leur servait de vêtement. Séance crème solaire, Bernard étale avec beaucoup de conscience sur le dos d'Eric, la crème, jusque sur le lobe des fesses. C'est le tour du devant d'être protégé. Ces gestes sensuels déclenche chez moi comme chez eux une érection, difficile à contenir. Puis ce sera au tour d'Eric d'étaler la crème. Il viendra m'étaler la crème dans le dos et sur le torse jusqu'à la ceinture, je suis très excité, surtout quand accroupi devant moi, il a enduit mes jambes de crème solaire. Je repars torse nu, toujours bien encadré, je suis entre eux deux, les fesses musclées d'Eric, devant moi ; le sexe de Bernard qui se balance devant les bourses, derrière moi. Rien que de les sentir si prêt, je ne débande pas, j'ai l'esprit qui divague. Les grandes herbes ont envahi le sentier et me caressent au passage les jambes, j'imagine que mes deux acolytes doivent avoir bourses et sexe caressés, je n'ose pas me retourner et c'est repartis, je bande à nouveau, je ne sais vraiment pas comment faire pour éviter de penser. Je crois que si cette herbe continue à me caresser, je crois que je vais jouir dans mon short. La pose est bienvenue, au pied de la dernière grimpette avant le col.
- C'était agréable ces grandes herbes, n'est-ce pas !
- Très excitant, répondit Eric
- Toi ce n'est même pas la peine de te demander, ton short parle pour toi.
Face à moi, ils sont eux aussi en érection. Je ne sais plus ou me mettre.
Après une bonne rasade d'eau et une barre de céréales, nous repartons. L'herbe diminue au fur et a mesure que nous montons, le sentier disparaît petit à petit, laissant par endroit l'emplacement d'une chaussure. Le col de la Forclaz est vraiment difficile à atteindre, dans les derniers mètres, la déclinaison est forte. Nous finirons la montée à quatre pattes pour éviter de glisser dans l'herbe rase. Arrivé au sommet et nous retrouvons le sentier, qui est à nouveau bien marqué. Dans un creux, un névé nous apporte un peu de fraîcheur. La bouteille d'eau est plantée dans la neige, nous nous installons à côté pour le repas et une courte sieste.
Bernard s'est allongé dans l'herbe, pour une courte sieste, un peu à l'écart. A côté de moi, Eric me propose de la crème solaire. A plat ventre, il me l'étale sur le dos, commençant par la nuque et descendant vers le bas du dos. Il continue sur les jambes, jusqu'aux chaussettes.
- Tournes-toi, me dit-il
Et remontant sur le devant des jambes, ils se rapproche se mon short, malaxe mes cuisses. C'est très agréable. A califourchon au-dessus de moi, il reprend au dessus du short, massant le ventre et remontant vers la poitrine. Son sexe et ses bourses qui pendent entre ses jambes, sont à l'aplomb de mon sexe et se découpent en ombres chinoises.
- Voilà tu es protégé pour un moment. Peux-tu m'en mettre aussi dans le dos.
- Oui bien sûre.
S'allongeant à plat ventre dans l'herbe, il attend. Je regrette d'avoir répondu aussi vite. Je m'exécute, mettant une bonne dose de crème, je l'étale en commençant comme lui par la nuque et descendant lentement vers le reins.
- Ca va comme ça ?
- Sur les fesses tu peux aussi en mettre !
- A bon.
Je prend de plus en plus de plaisir à glisser mes mains sur son corps. Comme toujours j'ai une érection. Dans mon slip, ma queue me fait mal, tend elle est à l'étroit. La crème dans ma main, je masse l'extérieur des fesses n'osant pas me rapprocher de la raie.
- Si tu veux, les faces intérieures en ont aussi besoin que l'extérieur.
Je passe rapidement pour continuer sur les cuisses. Quand je suis arrivé aux chaussures, il se retourne et me remercie. Son sexe est en érection, me tendant les mains, il me demande la crème et l'étale sur son sexe découvrant son gland. Je pose le flacon et je m'éloigne de quelques pas. Je ne sais pas s'il a envie de se masturber devant moi ou simplement protéger son sexe des coups de soleil. Il s'enduit le restant du corps est va passer la crème sur Bernard.
- Prépares ton sac, nous allons repartir.
Le sentier descend à mi-pente vers le Lac-sans-Fond (2456 m). Nous voyons en contre-bas la route qui arrive au col du Petit-Saint-Bernard (2188 m). Ils ont remis leur short et tee-shirt au bout d'une heure, quand nous étions aux abords du lac. Nous retrouvons la civilisation et les touristes qui ont mis une heure pour venir du col. La descente est raide jusqu'au col et nous sommes rapidement attablés sur la terrasse d'une buvette, devant une bière bien fraîche. Une pose bien agréable, mais nous ne sommes pas au terminus. Nous reprenons nos sacs et longeant la route, nous passons le point qui était la frontière franco-italienne, autrefois. Nous quittons rapidement la route pour descendre vers le Lago Verney. Nous ne nous y arrêtons pas et continuons la descente vers les chalets Verney (1934) situés sous le lac, au bord d'un torrent. Un peu à l'écart, nous planterons la tente pour la nuit. Comme la veille, nous irons nous laver. L'eau du torrent est glacée. Pas question de mettre un pied dedans. Eric et Bernard, nus comme d'habitude se savonnent le dos et me propose leur aide. Tout est glacé, il faut la main énergique d'Eric pour supporter. Je suis très vite dans la tente pour m'habiller chaudement et me réchauffer. Eux non plus ne traînerons pas nus longtemps. Le repas est vite pris et tous au lit...

Jeudi matin :
Le soleil est au rendez-vous. Comme la veille Bernard et Eric ont attendus la venue des rayons sur la toile de tente. Un fois tout rangé dans les sac à dos, nous continuons notre chemin. Nous passons la dernière ferme et nous nous remontons le Vallon du Breuil en direction du Col de la Serra (2738 m). La végétation est rase au loin nous précédant, nous apercevons d'autres randonneurs. Nous les retrouverons installés pour un copieux pique-nique, au col. Nous continuons, un petit passage dans les rocher et nous atteignons le névé en dessous du col. Nous contournons un mamelon et nous sommes à nouveau loin de la civilisation. Nous sommes sur une sorte de plateau minéral, sans végétation. Un chemin dallé avec de grandes bornes, arpente ce désert de roche, souvenir des aménagements de l'armée italienne durant la dernière guerre. Nous nous arrêtons pour manger, Bernard et Eric quittent leur short et s'installent, nus, sur une grande dalle. J'ai une folle envie de faire comme eux, je m'installe presque à côté d'eux, je peux participer à la discussion. Sûr de ne pas montrer ma nudité totale, je pose discrètement short et slip. Eric et Bernard se passent langoureusement la crème solaire, prennent leur temps, chuchotent, c'est idyllique. La crème solaire est une bonne excuse pour profiter du contact des corps. La chaleur du soleil m'enivre, je suis bien et bizarrement, je n'ai plus d'érection, je suis bien. Je n'ai pas le temps de cacher mon sexe, quand Eric, se levant, vient me proposer de la crème solaire.
- Allonges-toi sur la dalle, je vais te pommader !
Sans réfléchir j'ai obtempéré, à plat ventre sur la roche chaude, je me suis laissé faire. Ses mains glissent sur mon dos, puis mes fesses, jusque dans la raie, pour continuer vers les pieds.
- Tournes-toi !
Mon sexe qui était coincé sous mon ventre, s'est dressé. Je suis certainement écarlate, mais je me laisse faire. Ses mains remontent le long de mes jambes, frôlent mes bourses au passage, s'emparent de mon sexe, l'enduisent de crème. Je ferme les yeux et le léger soupir qui s'échappe de ma gorge, indique à Eric tout le plaisir qui monte en moi. Une main sur mon ventre, l'autre enserrant toujours mon sexe, il me dit
- Veux tu que je continue ici ?
Et sentant une légère pression sur mon sexe, je sais exactement ce qu'il me propose. D'un léger mouvement de la tête, je confirmais mon envie. Le lent mouvement de va et vient sur ma hampe ne tarde pas à faire monter en moi cette envie irrésistible de jouir. Il fait une pose, mon envie retombe légèrement. Surpris j'ouvre les yeux et je vois Eric à côté de moi, le sexe tendu, à porté de ma main. C'est la première fois que je me fais masturber, c'est aussi la première fois que soulevant légèrement ma main, je viens frôler le sexe d'un homme. Il reprend le va et vient, l'envie redouble, je vais jouir. Instinctivement je serre le sexe d'Eric à pleine main. De longs jets de sperme s'échappent et viennent s'écraser sur mon ventre et ma poitrine. Je n'ai pas lâché la queue d'Eric, j'ai même du la serrer fort. Je suis bien, mon souffle retrouve son rythme normal. Avec une lingette parfumée, Eric nettoie toutes les traces et reprend la protection solaire avec la crème. L'heure du départ et arrivée, j'allais enfiler mon short, quand Eric m'interpellant, il me dit :
- Fais comme nous, reste à poil. Tu as pu constater que c'est agréable de ne pas avoir de contraintes.
- Je vais essayer, mais je garde mon short à porté de main, si nous rencontrons d'autres randonneurs.
- Tu n'as rien à craindre pas de rencontre avant 2 heures au moins.
J'ai placé mon short sur le sac, à porté de main pour le reprendre rapidement. Je me sens comme libéré de je ne sais pas quoi, je me sens biens, heureux ! Je marche léger, nous passons près de petits lacs à l'eau cristalline et froide. Nous sommes sous la face nord du Mont-Miravidi. Nous avons bien avancé sur ce chemin dallé et sommes arrivés vers un névé, qui barre le passage et plonge vertigineusement dans la pente sous le Mont-Lechaud. Sans se démonter, Bernard et Eric posent leur sac et s'avancent sur le petit sentier dans les rochers vers la neige. Revenant au sac, Bernard sort la corde qui était au fond depuis notre départ, décroche le piolet du dos du sac.
- Il faut se r'habiller. Par sécurité, il vaux mieux avoir des vêtements sur la peau et après ce passage, nous allons retrouver la civilisation.
Voilà, nous sommes redevenus des randonneurs communs. Bernard entoure la corde autour de sa taille, dans la roche, un anneau et utilisé par Eric, pour l'assurer. D'un pas sûr, Bernard taille des pas dans la neige et avance régulièrement. Il arrive sans encombre de l'autre coté.
- A toi, me dit Eric
Je ne suis pas très rassuré. J'ai même la trouille, une trouille qui me fait trembler les jambes. Elles ne sont pas plus solide que si elles étaient en papier.
- Jamais je vais y arriver avec mon sac
- Ce n'est pas grave, laisse le ici je te l'apporte
Après être attaché à la corde par Eric, je me hasarde à poser un pied sur la neige. Je suis tout tremblant. De chaque côté, les vois de Bernard et d'Eric m'encouragent. Pas après pas, j'avance, sachant que la corde et tenue des deux côtés. Bernard se rapproche, il me tend la main, je suis arrivé. Eric fera deux aller retour pour m'apporter mon sac.
Cinq minutes après nous sommes au Col de Chavannes, d'autres randonneurs nous accepte de nous prendre en photos, Puis c'est la descente vers le Col de la Seigne (2516 m) où nous retrouvons le sentier du tour du Mont-Blanc.
Nous arrivons à la tombée de la nuit près de notre voiture, garée à la Ville-des-Glaciers depuis 3 jours. Je suis bien fatigué, je m'installe à l'arrière du 4x4 et sur le chemin du retour, je me suis assoupi. Je me réveille en sursaut quand la voiture s'arrête devant le chalet.
Eric nous prépare rapidement un repas. Je suis tellement fatigué que je monte après avoir demandé l'autorisation, au premier étage pour dormir dans le grand lit. En partie endormi, j'entend Eric et Bernard qui prennent une douche ensemble. Quand je me réveille, le jour éclaire la chambre. Je suis dans les bras d'Eric, je sens son corps tout chaud contre mon dos, ses cuisses contre les miennes, son bras par dessus ma taille et sa main au creux de mon ventre. Je n'ose pas faire de mouvements pour ne pas le réveiller, mais me sentir entouré de la sorte, le sang envahi mon sexe qui se développe et devient dur, pointant entre mes cuisses.
- As-tu bien dormi, me susurre à l'oreille, Eric
- Oui
Sa main me caresse le ventre, le torse et s'aventure jusqu'à mon sexe. Il me caresse doucement, calmement. Je sens sur mes fesses, son sexe qui se déploie. Je glisse ma main dans mon dos et je saisi son sexe. J'entreprend un mouvement de va et viens, j'ai envie de le faire jouir, de sentir monter en lui toute cette envie jusqu'à l'explosion.
- Vous démarrez bien la journée, vous deux ! Amusez-vous je vais préparer le café.
Bernard s'est levé, nous laissant le lit pour nous deux ? je me suis tourné sur le dos, pour regarder Eric, il est au dessus de moi, il descend lentement et pose ses lèvres sur ma bouche. Sa langue se glisse à la rencontre de la mienne. C'est la première fois qu'un mec m'embrasse et je ne pensais pas prendre autant de plaisir. Ses lèvres descendent dans mon coup, sur mon torse, mon ventre. Je sens sa barbe rêche contre mon sexe, remonter vers mon gland. Ses lèvres chaudes s'ouvrent et mon sexe disparaît dans sa bouche. Les aller et retour le long de ma hampe font monter la pression de plus en plus en moi. Eric s'est arrêté à temps, à l'oreille, il me demande
- As-tu envie de me prendre ?
- Je n'ai aucune expérience, je ne sais pas si ...
- As-tu envie ?
- J'ai bien envie de découvrir, mais je n'ai pas d'expérience, je ne l'ai jamais fait.
- Laisse toi faire.
Se penchant vers l'autre bord du lit, il prend une capote et me l'enfile sur mon sexe. Je suis toujours aussi dur et je sens que je repars vit, au contact des doigts d'Eric. Il enduit le tout de gel et m'enjambant, un genou de chaque côté de moi, il redescend lentement sur mon pieux. Je prends son sexe dans mes mains, pour le branler, quand je sens mon sexe qui pointait sur sa rondelle, entrer. Je sens tout son corps se refermer sur moi, m'emprisonner. Je suis entrer entièrement, maintenant il remonte, il redescend.... Ma respiration s'accélère, je me raidi de tout mon corps, mois aussi je vais à sa rencontre, ses fesses viennent se poser sur mes cuisses ou mes cuisses vont à la rencontre de ses fesses, je ne sais plus mais j'ai envie extraordinaire de jouir....
- Je viens........
Tout se calme, Eric tout souriant me contemple, toujours embroché sur mon sexe qui ne faibli pas. J'étais beaucoup trop excité pour m'occuper de son sexe. C'est à mon tour de le faire jouir. De longs jets de sperme qui arrivent sur ma poitrine, le corps tendu en arrière, lui aussi a pris son pied. Il se penche alors en avant et se soulevant légèrement, il me libère et m'embrasse tendrement.
- Viens, allons nous doucher
- Que va dire Bernard en nous voyant
- Rien, il sait tout...
Et me prenant par la taille, nous avons descendu les escaliers et il m'a conduit tout nu à la salle de bains. L'eau chaude, les mains et le savon toutes les conditions pour recommencer étaient réunies.
- Le café est chaud, il ne manque que vous.
- On arrive
Sagement nous avons pris la direction de la cuisine, une serviette autour de la taille, pour déjeuner devant le feu.
Nous nous sommes habillé, nous avons rangé le chalet et nous avons repris le chemin du retour. Nous nous sommes arrêté pour manger à midi et sommes arrivé à Genève en milieu d'après-midi. Eric et Bernard sont repartis après m'avoir déposé au pied de mon immeuble.
J'ai revu régulièrement Eric chez le père de Joël, il a toujours eu ce petit geste familier de me passer la main dans les cheveux. Je n'ai jamais raconté à Joël tous les petits détails de cette randonnée, je lui ai simplement dit que toute cette randonnée avait été une pure merveille et quelle serait à jamais gravée dans ma mémoire.
Frahos
Par frahos - Publié dans : Histoires - Communauté : Roman gay Rose
Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires
Retour à l'accueil
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés