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de
FRAHOS
Le jardin est grand et j'ai besoin d'aide pour l'entretenir.
Sous la rubrique « Ouvrier occasionnel » paysagiste, était le titre de la petite annonce dans le journal. J'ai téléphoné ce matin et il viendra
demain samedi en début d'après-midi. J'ai eu la chance de tomber sur une personne du village, qui situe bien ma maison.
Le temps est au beau et après le repas, dans le jardin, tout nu dans ma chaise longue, les écouteurs sur les oreilles, plongé dans mon livre, je me
fais dorer au soleil.
Lors de son passage entre le soleil et moi, j'ai tourné la tête et ce n'est qu'à ce moment que j'ai vu le jeune homme debout devant moi. Je ne l'ai
pas entendu entrer dans le jardin. Me redressant, déconcerté, ne sachant que faire, puisque tous mes vêtements sont à l'intérieur de la maison, je porte machinalement mon livre devant mon
sexe.
- Je m'excuse, je ne voulais pas vous déranger. Vous m'avez demandé si je pouvais vous tailler la haie, je n'ai pas votre téléphone, alors je suis
venu car j'ai eu un appel de mon patron pour travailler exceptionnellement samedi. Quand j'ai frappé à la porte personne n'a répondu, alors je suis venu voir le jardin, ce qu'il y avait à faire,
je ne pensais pas vous y trouver.
- C'est moi qui m'excuse, je n'ai rien sous la main pour m'habiller, je n'attendais pas de visite cet après-midi. Si ma nudité vous gêne, je vais
chercher un short !
- Non non, moi ça ne me gêne pas.
- C'est bien sûre ?
- Oui, oui.
- Si vous n'êtes pas gêné, c'est parfait. Asseyez-vous, ne restez pas debout.
Je me suis alors mis en position assise, posant mon livre à côté de moi. Son regard est passé de ma tête aux pieds, son visage a pris des
couleurs.
- Je peux venir lundi matin, mon patron m'a donné la journée en compensation, si vous voulez toujours de moi.
- Lundi matin ce sera très bien, mais pas avant 9 heures.
- Je serais là à 9heures, me dit-il en s'asseyant sur l'autre chaise longue.
- Veux-tu boire quelque chose ? J'ai de la bière ou du thé glacé.
- Du thé glacé.
Je suis rentré dans la maison pour chercher une bouteille et des verres et suis revenu, toujours nu, dans le jardin.
Nous étions assis en face l'un de l'autre et avons discuté longuement du travail à faire. Nous avons dévié sur différents sujets, dont le
naturisme.
- Je vous ai déjà aperçu plusieurs fois tout nu, vous tondiez la pelouse près du portail et une autre fois entre les arbres.
- Ah ! Tu m'as déjà vu dans le jardin ? C'est tellement agréable et dès que le soleil est là, j'en profite, et j'ai même des amis qui viennent
profiter de cet espace pour faire du naturisme.
- Vous n'avez pas peur ?
- Peur de quoi ?
- Que l'on vous voit !
- Il n'y a pas de raison d'avoir peur, je suis chez moi et rares sont les occasions où je suis visible de la route. As-tu déjà fait du naturisme
?
- J'y ai déjà pensé mais je n'ai jamais osé et je ne saurais pas où aller.
- Il y a les plages naturistes, il y en a plusieurs pas très loin d'ici et si un jour tu veux essayer, il y a mon jardin, même quand je ne suis pas
là, le portail n'est jamais fermé.
- Mais je ne sais pas si j'oserais malgré tout.
- Tu n'es certainement pas prêt pour le naturisme, un jour l'envie sera plus forte que ta peur. Ici tu ne risques pas d'être vu, car il faut
pénétrer dans le jardin pour voir la partie ou nous sommes. Veux-tu encore un peu de thé glacé ?
- Oui s'il vous plait.
Il a vidé son verre, s'est levé et ma salué avant de partir.
- A lundi matin 9 heures !
- OK
Il n'est pas encore 9 heures, ce lundi matin, quand l'on sonne à la porte de la maison. D'une combinaison rouge et jaune sort la tête blonde et
souriante de Ronan, puisque c'est son prénom. Des bottes aux pieds, il est prêt à travailler. Le soleil est au rendez-vous et ensemble, nous nous dirigeons vers le jardin. Ronan taille, moi je
dégage les branches coupées et les porte sur un feu près de la route. Nous avons bien avancé et vers 11 heures 30, j'invite Ronan à prendre l'apéritif pendant que j'allume le barbecue. Le soleil
est chaud et Ronan, s'installe au soleil baissant les fermetures éclaires de sa combinaison, il enlève le haut, attachant les manches autour de sa taille. Les flammes montent dans le
barbecue.
- Pastis ?
- Oui, bien volontiers.
- Voilà, voilà !
- A ta santé.
- A la votre !
Tout en enlevant mon tee-shirt, je suis retourné près du feu pour verser d'un grand sac en papier, du charbon de bois sur les flammes.
Ronan s'éponge le front, mi-allongé, les jambes écartées, il se relaxe en sirotant lentement son pastis.
- Ne vois-tu pas d'inconvénient à ce que je retire tout ?
- Non, vous faîtes comme vous voulez !
- Si tu veux te mettre à l'aise, ne te gênes pas.
- Même si j'en ai envie, je crois que c'est trop excitant et je n'oserais jamais me retrouver tout nu devant vous, sans pouvoir me
contrôler.
- Sans pouvoir te contrôler ! Ah ! Je crois comprendre, c'est ton anatomie qui te pose un problème.
- Oui.
- Mais c'est normal pour une première fois, on est tous passés par-là. Même si tu étais seul ce serait pareil, au début, tu ne peux empêcher
l'excitation. Tu verras nous ne sommes jamais à l’abri d'une érection, il ne faut pas être gêné, c'est un phénomène naturel et chez l'homme c'est forcément visible et imparable. Il faut
t'allonger sur le ventre, quand c'est passé alors tu te retournes.
- Ca vous arrive aussi ?
- Bien sûre, parfois il suffit parfois d'une légère brise pour éveiller une excitation latente ou tout autre évènement. Il ne faut pas en avoir
honte.
- Je vous envie.
- Tu m'envie... la décision t'appartient, tu peux essayer quand tu veux.
- Ici, je n'oserais jamais.
- Oses
- Vous croyez ?
- Tu risques quoi ? Si ton envie est forte, tournes ta chaise et quitte le bas. Si tu as envie de continuer, tu enlève le haut.
Assis sur la chaise, il me tourne le dos, hésite, défait les manches de la combinaison, qui enserre sa taille et dans un geste rapide, il baisse
combinaison et caleçon en même temps, sur ses bottes. Puis après un moment d'inertie, dans un geste ample il enlève son tee-shirt, qu'il garde devant lui.
- Enlève encore tes bottes et poses tes pieds nus dans l'herbe.
Le tee-shirt sur ses genoux, il pousse sur les talons des bottes pour libérer ses pieds.
- Alors, les premières impressions ?
- Je n'arrive pas à imaginer que je suis tout nu ici devant vous.
- Tu regrettes ou tu aimes ?
- J'aime, mais je suis terriblement excité et je ne sais plus quoi faire.
- Pose ton tee-shirt à côté de toi, ne soit pas gêné, puisque qu'il n'y a que le soleil pour te regarder de face. Allonges-toi dans l'herbe, écarte
les jambes, appuies toi sur les bras et fermes les yeux. Offre ton corps au soleil et tu sentiras la fraîcheur de l'herbe et la brise chaude qui glisse sur toutes les parties de ton
corps.
- Que c'est agréable,
- Parles moi un peu de ton travail de paysagiste.
Petit à petit, il s'est mis à me parler, oubliant complètement son excitation et sa nudité.
- As-tu des idées pour arranger ce jardin ?
Il m'a expliqué dans des termes passionnés comment améliorer l'espace, tailler des arbres, il s'est levé pour me monter à grands gestes où déplacer
l'allée. Se retournant légèrement vers moi, il a dévoilé son sexe dans une touffe de poils bonds. Ce n'est que quelques secondes après, qu'il prit conscience de son geste qu'il y a porté ses
mains protectrices. Elles étaient bien petites ses mains pour cacher son sexe qui s'était remis à gonfler.
- Je vois que l'excitation qui était partie à tendance à revenir.
- Ca me gêne, je n'arrive pas à être comme vous, mais c'est très agréable.
Prenant le tee-shirt abandonné sur la chaise, le tenant devant lui, il s'est assis face à moi.
- Quand je me suis levé, j'ai complètement oublié que j'étais nu et encore plus quand je me suis tourné vers vous.
- Tu m'as dévoilé involontairement ton côté face, car tu étais bien. A toi de réfléchir sur ce qui vient de se passer. Tu ne dois pas être complexé,
tu es beau, tu es bien fait, mais ton cerveau à repris le contrôle, alors c'est à toi de le contrôler maintenant.
- Mais comment faire pour ne plus être en érection ?
- C'est en acceptant d'être vu même le sexe raide, en travaillant ou en ayant une occupation que ton cerveau oubliera. D'ailleurs nous pouvons
passer à table.
- On va manger nu ?
- Oui seulement si tu en as envie.
- Oui.
Et en quelques pas, son tee-shirt toujours devant lui, il est venu s'assoire à la table, le sexe bien à couvert.
- Si tu as envie de vivre ce moment en toute liberté, pose ton tee-shirt sur cette chaise, ton sexe est bien à l'abris sous la table.
Sans un mot, il s'est découvert.
- Un peu de vin
- Non-merci, simplement de l'eau, l'apéritif me fait déjà tourner la tête.
Le repas c'est bien passé, nous avons encore discuté du jardin, c'est l'heure de reprendre le travaille.
- Je suis bien, je ne pensais pas pouvoir vivre ainsi, dire qu'il faut se r'habiller, me dit-il.
- C'est préférable, nous allons encore être trop prêt de la route.
Nous n'en avons eu que pour deux petites heures, pour terminer la haie le long de la route.
- Veux-tu prendre une douche, avant de boire un verre ?
- Oui
- Viens, voilà des serviettes, je prendrais ma douche après toi.
- Je peux vous demander un petit service ?
- Oui, que puis-je faire pour toi ?
- Accepteriez-vous de me frotter le dos, il y a tellement longtemps...
- Nous allons être obligés de prendre notre douche ensemble.
- Oui je sais.
- Si tu veux, alors allons-y.
Il s'est déshabillé rapidement et s'est avancé sous la douche. Je l'ai rejoint. Il a arrêté l'eau, je lui ai versé un gel douche sur le dos et avec
un gant de crin je l'ai massé jusqu'au creux des reins. Il s'est retourné face à moi et a versé du gel dans sa main. Puis lentement il a commencé à l'étaler sur ma poitrine, caressant longuement
mes tétons, remontant vers mon cou, descendant jusqu'à la naissance de mon sexe et s'attardant sur mon ventre. A ce régime, mon sexe pris rapidement du volume.
- Oh ! Que cherches-tu ?
- C'est agréable, vous aimez ?
- Je n'apprécie pas les libertés que tu prends. Que cherches-tu subitement ?
- Il y a longtemps que j'ai envie de vous.
- Envie de moi ? Ça ne va pas, qu'est-ce qui te fait penser que nous partageons les mêmes envies. Qu'espères-tu ?
- Je voulais simplement vous caresser, vous sentir vibrer, je sais que vous aimez les mecs et je ne suis assez bien fait, c'est vous qui me l'avez
dit.
- Qu'est-ce qui te fait croire que je suis gay ?
- Je vous ai vu dans le jardin, avec un de vos copains. Vous étiez allongé dans la chaise longue et il était en mouvement au-dessus de
vous.
- Tu es entré en catimini dans le jardin, pour mater ?
- Je ne savais pas que vous étiez gay aussi, je voulais simplement vous regarder nu.
Sans un mot, nous nous sommes rincés, je l'ai poussé hors de la douche, tendu une serviette, accompagné dans le jardin avec ses
vêtements.
- Sèches-toi et va-t'en.
Quand je suis revenu dans le jardin, il était parti.
Il avait réussi à m'exciter, ce petit con !
Je regrettais en partie mon geste, je crois que j'aurais apprécier de conclure avec lui. C'est vrai qu'il est bien fait, ce n'est pas un Apollon,
mais il a une belle musculature, la peau lisse et douce, une sexe de belle taille avec deux bourses fermes et remontées en-dessous. Je me suis mis à rêver, mois dans la chaise longue et lui
s'occupant de moi. Je ne sais vraiment pas quelle expérience il a, mais je ne suis certainement pas le premier qui passe sous ses doigts. Il a réussi en quelques secondes me faire réagir et je
crois que si je ne l'avais pas arrêté...
Je suis parti assez vite chez Eric, un bon copain, pour passer la soirée.
Avec la précipitation du départ de Ronan, j'avais complètement oublié de le payer. J'ai attendu trois jours, mon seul moyen de le contacter, c'est
le téléphone de l'annonce. Sur son répondeur je laissais le message suivant :
Bonjour, vous êtes venu tailler la haie, votre départ précipité ne ma pas permis de vous payer. Je ne connais pas votre adresse, pouvez-vous
passer.
Durant ces deux derniers jours j'ai évité de faire du naturisme dans le jardin, au cas où, mais pas de nouvelles, peut-être n'oses-t-il pas revenir
?
Ce dimanche, Eric, qui est un habitué de mon jardin, est venu manger et profiter du soleil. Par précaution j'ai fermé à clé le portail pour plus
d'intimité. Nous avons mangé et après le repas nous avons profité du soleil, sur les chaises longues, tout en discutant de Ronan.
- Alors il t'a caressé comme ça ? Jusque là ? Et tu a réagis comme maintenant ?
- Arrête de tout ramener à lui.
- Puisqu'il t'a amené à avoir envie de lui, pourquoi le renvoyer ?
- Il est plus jeune que nous mais c'est surtout me faire peloter par surprise qui ma déplu.
- Tu bandes rien qu'en parlant de lui
- Il est assez craquant et réflexion faite je crois que je ne le renverrais pas si il lui prenait l'envie de recommencer.
Lundi soir, Ronan sonnait à la porte.
- Bonjour.
- Entre.
- Vous m'avez laissé un message...
- Oui lundi dernier je n'ai pas eu le temps de te payer tes heures de travail.
- Je voulais aussi m'excuser, je n'aurais pas dû vous forcer la main. Je n'ai pas pu m'empêcher quand je vu ai vu à côté de moi, j'ai eu une envie
folle de vous attirer et de vous toucher, je voulais vous exciter pour aller plus loin. Je vous ai senti vibrer juste avant que vous me viriez.
- C'est vrais que tu as réussis à m'exciter mais il faut un consentement mutuel, si non, c'est du viol. C'est ce que j'ai ressenti.
- Je ne voulais pas vous blesser, je voulais tout l'inverse.
- Oublions cette erreur de jeunesse. Veux-tu boire quelque chose ?
- Oui je veux bien. Vous m'en voulez encore ?
- Non je ne t'en veux pas, mais souvient-en. Il y a longtemps que tu es gay ?
- Trois ou quatre ans.
- Un copain ?
- Non, les mecs de mon âge, ça ne dure jamais longtemps. Nous n'avons pas de lieu pour nous retrouver en dehors de la nature. Ce doit être le pied
de faire l'amour dans un lit ou sans surveiller si quelqu'un arrive. Les mecs plus âgés peuvent recevoir chez eux sans problème, j'ai toujours rêvé de ça.
- Tes parents savent ?
- Non, ils seraient malades.
- Et tu vois l'avenir comment ?
- Je ne sais pas, en dehors des rêves, je ne peux pas imaginer ce qui peut m'arriver réellement. Je vais peut être me marier pour faire comme les
autres.
- Es-tu toujours partant pour arranger le jardin ?
- Vous voulez encore de moi ?
- Bien sûre, la proposition tient toujours.
- Merci, je suis vraiment heureux de venir travailler pour vous. Vous êtes le seul qui me comprenne, le seul à qui je peux parler de mon
homosexualité et je vous promets que jamais, même si j'en ai envie, je ne vous forcerais la main. Je peux vous embrasser ?
Et il s'est jeté sur moi, apposant un baisé sur ma joue. Le sentir entre mes bras à réveillé en moi une vague de tendresse qui m'a perturbé. J'ai
apposé également un baiser chaleureux sur sa joue.
- A samedi, si vous voulez.
- A samedi, pas avant 9 heures.
- OK et puis ne me payez pas les heures que j'ai déjà faites ici, ce sera la punition pour mon inconduite. Je suis tellement heureux de pouvoir
revenir.
Le samedi est bien vite arrivé, j'ai attendu cette journée avec impatience. J'étais en train de préparer un café, à 8 heures 30, il était à la
porte. En jean et tee-shirt, sa combinaison roulée sous le bras, les bottes à la main.
- Je suis en avance, ça ne vous dérange pas ?
- Non, entre, veux-tu un café
- Oui, bien volontiers.
Assis face à face dans la cuisine, nous avons bu notre café.
- Je vais revêtir ma tenue de travail.
- Je vais en faire autant dans le jardin.
De la fenêtre de ma chambre, je n'ai rien perdu du spectacle de ce beau mec presque à poil. La réaction ne s'est pas fait attendre et tout le désir
à envahie mon bas ventre.
- Voilà je suis prêt.
Nous avons travaillé jusqu'au repas
- Un pastis ?
- Oui, bien volontiers. Je peux me mettre à l'aise pour le repas ?
- Oui, si tu veux.
Et sans attendre, il s'est mis nu très rapidement et s'est avancé vers la table, le sexe légèrement gonflé, pour s'asseoir en face de moi. Nous
avons trinqué et heureusement j'étais encore habillé face à lui. Je ne sais si j'aurais pu masquer mon envie. Après avoir posé mes vêtement dans la chambre, je l'ai rejoins avec un saladier dans
les mains.
- Serres-toi. Bon appétit.
- Merci, bon appétit à vous aussi.
A la fin du repas il m'a demandé si nous pouvions travailler nu dans cette partie du jardin où nous sommes à l’abri de tous les regards. N'y voyant
aucun inconvénient nous sommes retournés au travail en tenue d'Adam.
- C'est bien la première fois que je travaille nu, merci pour tout.
- Je suis heureux pour toi.
La fin de la journée est bien vite arrivée
- Veux-tu prendre une douche ?
- Oui.
Il s'est dirigé vers la salle de bains, je l'ai suivi pour lui donner une serviette.
- Je peux vous demander de me frotter le dos, je serais sage, je n'aurais pas de geste déplacé.
- Viens allons y ensemble.
Sous l'eau tiède il m'a gratifié d'un merveilleux sourire et m'a tourné le dos. J'ai coupé la douche et j'ai commencé à frotter son dos enduis de gel. Mon cerveau
divague, mon sexe est incontrôlable, je l'ai pris dans mes bras et embrassé sa nuque. J'ai descendu mes mains sur son bas ventre et j'ai enserré son sexe dur. Il s'est retourné et nous nous
sommes embrassés longuement.
- J'ai rêvé de ce moment tous les jours, depuis ma première venue ici.
- Tu es un beau diable et j'aime bien te tenir au creux de mes bras.
- J'ai envie de toi, j'ai envie de te sentir en moi, j'ai envie de te faire jouir en moi.
- Viens dans la chambre et prenons notre temps, pour vivre pleinement ce moment.
Nous nous sommes allongés sur le lit, mes mains ont exploré le corps de Ronan. Je l'ai couvert de baisers, puis je suis descendu vers les tétons. Je me suis
positionné entre ses jambes, mes lèvres posées juste au dessus de son nombril, je sentais son sexe dressé frotter contre ma peau. La ligne de poils blonds qui part de son nombril, m'a conduit à
son sexe. Dans ma bouche, le prépuce à fini de libérer son gland que j'ai sucé jusqu'à ce que ses mains me remontent vers ses lèvres. Il a roulé sur moi et à cheval au dessus de mon sexe, il a
positionné sa rondelle.
- Attends, j'ai des capotes dans le tiroir
- J'aimerais bien recevoir au fond de moi, votre sperme. Je suis sains, vous aussi je suppose.
- Moi aussi, mais ce n'est pas très raisonnable.
- Si vous avez confiance en moi, j'ai confiance en vous.
Et il est venu s'empaler lentement sur mon sexe, sans précipitation. Il y a bien longtemps que je n'ai pas eu cette sensation de liberté et les aller et retour ont
eu raison de moi. Je venais à peine de jouir que plusieurs jets de sperme inondaient mon ventre et mon torse. Il s'est allongé sur moi, nous nous sommes abandonnés dans les bras l'un de l'autre
en appréciant le calme reprendre possession nos corps.
Lors de mes séjours dans cette maison de vacances, nous nous sommes revu occasionnellement. Pour son travail, Ronan a quitté le village, mais j'ai régulièrement des
ses nouvelles. Il est même venu, un jour, me présenter son petit copain.
Frahos
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