Partager l'article ! Le premier jour de 2010: J'ai passé le réveillon de fin d'année à 1500 mètres d'altitude, chez des amis, dans un petit chal ...
Histoires
de
FRAHOS
J'ai passé le réveillon de fin d'année à 1500 mètres d'altitude, chez des amis, dans un petit chalet pas très loin de mon appartement. C'était aux environs de
quatre heures du matin quand je suis rentré, en passant par la piste. Il n'y a presque plus de neige, il a plu tous ces jours derniers.
Quelle ne fut pas ma surprise, de découvrir, un homme jeune, en pull, grelotant, assis parterre devant ma porte.
- Que faites-vous là ?
La bouche pâteuse, il m'a répondu
- Tu ne m'as pas répondu, j'attendais que tu m'ouvres la porte.
- Mais vous n'habitez pas ici !
- Ouvres j'ai froid.
- Mais ce n'est pas chez vous !
- Je sais plus, je ne me souviens plus où est l'appart.
- Entrez, vous allez vous réchauffer.
Il avait assurément bien bu, je lui ai préparé un café bien chaud et j'ai cherché à savoir où était son appartement, si il se souvenait d'un numéro
de téléphone, pour prévenir quelqu'un. Pas de papier, pas de téléphone sur lui. Comment faire ?
- Personne vous recherche ou vous attend ?
- Je ne sais plus et je ne sais plus où aller.
- Vous allez dormir ici sur le canapé et on verra quand il fera jour, car moi, j'ai besoin de dormir.
- Merci c'est gentil.
- Les toilettes, c'est cette porte. Vous avez une bonne couette, reposez-vous.
Je suis allé me coucher dans ma chambre et me suis endormi presque instantanément. Une heure plus tard, environ, je suis réveillé par mon
visiteur.
- Je n'arrive pas à dormir, j'ai froid, tu n'aurais pas une couverture en plus ?
- Non il n'y a que la couette, ce n'est pas suffisant ?
- Je n'arrive pas à me réchauffer.
- Ce n'est pas étonnant, vous ne vous êtes même pas déshabillé. Il faut tout quitter et vous vous réchaufferez plus vite.
- Ça risque pas, j'aurais encore plus froid.
- C'est seulement les cinq premières minutes, votre corps va réagir
- Je peux partager votre lit ?
- Si vous voulez !
Ne gardant qu'un slip blanc, il a laissé tomber ses vêtements par terre à côté du lit et s'est glissé sous la couette.
- C'est sympa ce que tu fais !
- Oui ! Eh bien, il faut dormir maintenant.
Je lui ai tourné le dos et me suis rendormi rapidement.
Le réveil est bien différent, sans m'en rendre compte, nous nous sommes rapprochés dans notre sommeil, il est collé contre mon dos et il a passé son
bras par-dessus moi, sa main posée sur mon ventre. Quand j'en prends conscience je m'aperçois que je bande comme un fou. Je suis nu et j'ai peur qu'il ne s'aperçoit que mon sexe est tendu. Ses
doigts bougent et jouent avec les poils de mon ventre, ils s'aventurent jusque dans ma toison, à la naissance de mon sexe. Je sens dans mon cou, le souffle de sa respiration qui s'accélère. Il
avance avec prudence, lentement, sa main conquiert du terrain, ses doigts effleurent mon sexe. Les pointes des doigts parcourent ma hampe, mon cœur bat la chamade, j'ai du mal à contrôler ma
respiration, car je ne veux pas qu'il s'arrête. Ses doigts remontent puis entourent mon gland et très lentement redescendent, le prépuce suit le mouvement et le gland émerge légèrement de sa
gaine. Sa main remonte, puis redescend lentement, la pression de ses doigts s'accentue, il me branle délicatement. Je suis bien, je n'ai pas envie d'interrompre ce moment. Si je bouge, le charme
sera rompu, mais j'ai une envie terrible de le caresser, de le toucher, de prendre dans ma main son sexe qui doit être à l'étroit dans son slip blanc.
Je décide de me tourne carrément sur le dos, provoquant la débandade et l'emballement de sa respiration. J'ai allongé mon bras entre nous, le dos de
ma main touche sa cuisse, je ne bouge plus. Il observe, il attend de longues minutes pour surveiller la régularité de ma respiration. Il se décide, il pivote légèrement, je sens sur mon bras la
légère pression de son corps qui se penche vers moi, il repart à l'aventure. Sa main se glisse entre le drap et ma peau, mes poils détectent sa présence, elle atteint mon sexe qui se redresse à
son contacte. Sa main l'enserre, remonte jusqu'au gland, je sens la pression de ses doigts et le mouvement de va et vient reprend. Nos deux respirations ont repris de l'intensité, sur mon épaule,
je sens son souffle qui s'accélère. Tout le plaisir arrive, je le sens monter dans mon bas ventre. Oh ! Que c'est agréable, il doit l'entendre à mes inspirations plus profondes. Je crois que je
vais bientôt venir, je ne dit rien, je suis curieux de voir comment il va se comporter. J'ai une profonde inspiration, Ha ! Je viens en longs jets de sperme. Il doit en avoir plein les doigts et
le drap doit être maculé. Lentement il retire sa main et je l'entends qui suce ses doigts.
- Merci, lui dis-je.
- Tu ne dormais pas ?
- Non, mais j'ai vraiment apprécié ce merveilleux réveil. Es-tu gay ?
- Non
- Alors pourquoi m'as-tu branlé ?
- Je ne sais pas, tu étais tout nu à côté de moi, j'ai eu envie de te toucher.
- As-tu pris du plaisir à me branler ?
- Oui
- Et as-tu envie de jouir ?
Il ne dit pas un mot, alors je me suis tourné vers lui, le long de sa cuisse je suis remonté et j'ai posé ma main sur son slip tendu.
Soulevant la couette, j'ai découvert son corps musclé, presque imberbe. Je me suis penché sur lui, j'ai écarté les mains qui avaient repris
possession de la bosse et du slip blanc. J'ai l'ai fait glisser le long de ses jambes, pour libérer sa hampe, aussitôt cachée par ses mains.
- N'as-tu pas envie ?
- Si, mais je suis gêné, je n'ai jamais été nu comme ça devant quelqu'un.
- Tu n'as jamais eu de rapports avec un mec ?
- Non
- Laisses-toi faire, tu en garderas un merveilleux souvenir.
J'ai écarté ses mains et les ai repoussées de chaque côté de son corps. J'ai caressé son bas ventre et quand j'ai pris son sexe entre les doigts, le
gland en partie décalotté laissait échapper un long fil de precum. C'est à peine si je l'ai touché, cinq ou six jets de sperme ont terminés leur course sur son ventre et sa poitrine.
- Bonne année, lui dis-je, et Si tu as aimé cette expérience, je te souhaite de la retrouver tout au long de ta vie.
- Merci et bonne année à toi aussi.
- Merci, mais je crois que la douche s'impose, maintenant
- Oui
- Viens, je vais te donner une serviette, il y a tout ce qu'il te faut dans la salle de bain.
Je l'ai accompagné, préparé une serviette pour lui et je l'ai rejoint, à sa grande surprise, sous la douche.
Voilà quelle à été ma première journée de 2010. Nous avons pris un bon déjeuner et je l'ai accompagné dehors, son appartement était dans un chalet
identique au mien, mais juste en-dessous. Juste avant de repartir à Paris, il est venu me dire au revoir, nous avons célébré ce un moment à notre manière, pour notre plus grand
plaisir.
Frahos
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